Thursday, May 22, 2008

Lettre ouverte et de supplications adressée à Madame Sophie Blanchy / APPEL AU BOYCOTT !

[mise à jour du 05 novembre 2008: je n'ai reçu aucune réponse de Madame Sophie Blanchy - Mounir]

22 juin 2008

Aussi triste que cela puisse paraître, Madame Sophie Blanchy n'a jamais répondu à mes messages et à mon appel à renoncer à cette conférence et, malgré tout ce qu'elle sait sur Nagin et ses "dirigeants", elle a maintenu cette conférence qui a bien eu lieu comme annoncé.

Toutefois, d'après les informations que j'ai pu recueillir, peu de gens s'étaient finalement présentés à cette conférence, ce qui est plutôt "réjouissant".

Mon appel au boycott a, semble-t-il, bien été relayé.

Je remercie tous ceux et toutes celles qui m'ont apporté leur soutien dans cette campagne et qui ont bien voulu relayer cet appel au boycott auprès de leur entourage.


Mounir Nassor

( email : mounirnassor@yahoo.co.in / blog : www.myindias.blogspot.com )
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Un rappel de cette lettre ouverte à été transmis à Madame Sophie Blanchy le 23 mai 2008.

Samedi 24 mai (18h15), Madame Sophie Blanchy n'a toujours pas répondu à mon appel.

J'invite tous ami(e)s, tous mes lecteurs et lectrices à faire de même pour lui demander d'annuler sa conférence du 25 mai organisée par NAGIN : sophie.blanchy@mae.u-paris10.fr, blanchysophie@yahoo.fr
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22 mai 2008

Chère Madame,

C'est avec la plus grande des stupéfactions et la plus grande des tristesses que je viens d'apprendre que le dimanche 25 mai à 16h à Paris, vous allez donner une conférence sur « Que veut dire être Gujarati...» à l'initiative des «dirigeants» de l'association NAGIN à savoir Ashock Monany, Salim Karim, Akil Amiraly, Firoze Hiridjee et peut-être d'autres personnes encore. Si j'utilise des guillemets concernant ces «dirigeants» de NAGIN, c'est parce que ces personnes n'ont aucune légitimité à vous proposer de faire cette conférence et/ou à vous payer au nom des membres de cette association (j'ignore si vous serez payée).

Le dimanche 30 mars 2008, à la réunion de cette association, vous étiez pourtant là lorsque j'ai manifesté ma plus ferme opposition à ces personnes, notamment concernant l'éviction odieuse et illégale d'Aména Chotia qui avait été régulièrement élue présidente au début du mois de septembre 2007 et dont le bureau exécutif avait régulièrement été établi le 23 octobre 2007.

Le 02 avril 2008, Salim Karim, se présentant illégitimement comme le «président» de NAGIN, m'a informé de mon exclusion sans même avoir consulté tous les autres membres du bureau (je ne parle même pas de l'ensemble des adhérents de NAGIN et alors qu'il prétend avoir obtenu leur assentiment « unanime » !) et sans même me donner la possibilité de m'expliquer comme cela est prévu statutairement.

En date du 21 avril 2008, j'ai répondu longuement en détail aux « motifs » scabreux invoqués pour mon exclusion purement expéditive, autoritaire, dictatoriale pour ne pas dire digne d'une secte. A toutes ces réfutations, dans ce même message, en tant que membre de cette association et membre du bureau ou conseil d'administration, je leur ai posé un certain nombre de questions et de demandes de justifications concernant leur gestion et administration de cette association. A ce jour, 22 mai 2008, aucune de ces personnes ne m'a répondu. Comment expliquer ce silence : mépris complet ? dissimulations ? manque de courage ? embarras ? honte ?

Comme cela est formellement attesté par les informations figurant sur mon blog (voir rubrique NAGIN : www.myindias.blogspot.com), vous avez été parfaitement tenue au courant de ces litiges et des moyens et manœuvres abjects utilisés par ces «dirigeants» malhonnêtes et manipulateurs qui vous ont convié à faire cette conférence sous leur égide pour ne pas dire sous leur «bénédiction».

Pour vous donner une autre preuve de l'incroyable malhonnêteté et malveillance de ces personnes, vous serez peut-être surprise d'apprendre que j'ai été «très soigneusement» mis à l'écart de l'organisation de votre conférence (prise de décision du bureau, budget, location de salle, etc.) alors que je suis membre du conseil d'administration de cette association. Surtout, je n'ai absolument pas été informé de la tenue de cette conférence alors que je suis membre de NAGIN et parfaitement à jour de mes cotisations auprès de cette association. C'est dire jusqu'où ils sont capables d'aller et de faire...!

C'est seulement très indirectement et par l'entremise d'amis bienveillants que j'ai appris avec la plus grande des tristesses et la plus grande des stupéfactions que vous aviez répondu favorablement à leur demande et que vous alliez donner cette conférence, ce qui implicitement revient à leur donner un blanc-seing complet sur toutes ces manœuvres malhonnêtes et ces mensonges éhontés de ces personnes, manœuvres et mensonges dont vous avez été directement témoins le 30 mars dernier et ensuite régulièrement et parfaitement informés depuis cette date par moi-même. En acceptant cette invitation par de telles personnes, vous cautionnez implicitement tous leurs agissements malhonnêtes dont vous avez été parfaitement tenue au courant jusqu'ici.

Aussi, avec toute l'estime que j'ai pour vous et qui est partagée - à juste titre - par un très grand nombre de membres de nos communautés gujarati, pour toutes les raisons évoquées en détail dans mon blog concernant ces personnes, pour tout ce que vous avez été informée et témoin direct concernant ces «dirigeants» de NAGIN, je vous adresse mes supplications les plus humbles pour vous demander de renoncer à cette conférence organisée par ces «dirigeants» de NAGIN le 25 mai prochain à 16h. En répondant favorablement à leur invitation, vous ne ferrez que ternir votre réputation non seulement auprès des communautés gujarati qui vous admirent et qui vous respectent mais aussi dans l'ensemble du monde académique qui lira cette lettre ouverte que j'adresse et demande de lire au plus grand nombre de personnes possible.

Malgré tout ce que vous savez au sujet de ces personnes, dans le cas où vous maintiendriez votre intention de faire cette conférence, je demande à toutes les personnes qui vont lire ce message
  1. de boycotter votre conférence
  2. de diffuser cette lettre ouverte auprès de leurs ami(e)s et entourage
  3. de relayer cet appel au boycott auprès de leurs ami(e)s et entourage
  4. de vous écrire et vous faire savoir qu'ils et elles ne viendront pas à votre conférence en guise de protestation : sophie.blanchy@mae.u-paris10.fr, blanchysophie@yahoo.fr
En espérant vivement que vous répondrez favorablement à mes très humbles supplications, veuillez agréer, chère Madame, l'expression de ma très respectueuse considération,

Mounir Nassor

( email : mounirnassor@yahoo.co.in / blog : www.myindias.blogspot.com )

Monday, May 05, 2008

Mercredi 14 mai à 19h : Film Parineeta par Pradeep Sarkar



Dear friends, chèr(e)s ami(e)s,


See below for reviews and summaries of the movie Parineeta by Pradeep Sarkar from The Hindu and Wikipedia.

Si vous êtes à Paris ou de passage à Paris, ce mercredi 14 mai à 19h, ne manquez surtout pas de voir le film de Pradeep Sarkar intitulé Parineeta (« The married woman ») au Reid Hall à Paris (voir description et adresse ci-dessous).

Un débat et une discussion auront lieu après la projection de ce film autour d'un verre vers 21h30 - 22h.

Le nombre de places pour ce film étant limité, veuillez très rapidement vous inscrire en indiquant simplement votre nom à : afui@msh-paris.fr

J'espère vous y voir très nombreux !

Date :

Mercredi 14 mai 2008 de 19h à 22h

Adresse :

Reid Hall
4 rue de Chevreuse
75006 Paris

métro : Vavin
Tel : 01.43.20.33.07

Frais de participation: membres de l’AFUI, étudiants: 5€, non membres, 8€, règlement sur place (inscription préalable obligatoire)

Merci aussi de relayer cette information autour de vous!

Bien à vous tous,

Mounir Nassor

(email : mounirnassor@yahoo.co.in / blog : www.myindias.blogspot.com)

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Voici le message de Josiane RacineAssociation France-Union Indienne


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Association France-Union indienne
54 boulevard Raspail

75006 Paris

afui@msh-paris.fr
site internet : www.afui.net


Madame, Mademoiselle, Monsieur,

L'AFUI a le plaisir de vous inviter à une nouvelle séance du ciné-club, le mercredi 14 mai de 19h à 22h.

Nous serons comme toujours accueillis à Reid Hall : 4 rue de Chevreuse, 75006 Paris Tel : 01.43.20.33.07, métro : Vavin.

Synopsis :

Adapté du roman de Sarat Chandra Chattopadhyyay (Parineeta, The married woman). Le film se situe dans le Calcutta de 1962, ville animée, en pleine effervescence et alors souvent appelée « le Paris de l’Est». Lolita, orpheline depuis l’enfance est envoyée dans la famille de son oncle où elle fait la connaissance de Shekhar, jeune musicien et fils d’un homme d’affaire influent. De l’enfance à l’adolescence, Shekhar et Lolita partagent joies, peines, amertumes, et mille autres expériences qui les lient d’une amitié profonde et vraie. De cette amitié naît sans même qu’il s’en rendent compte un amour intense dont seule l’arrivée de Girish leur révèlera la grandeur. Mais le destin en décide autrement et les expose à des retournements de situations si violents qu’ils finissent par s’entredéchirer. La pureté de leur amour parviendra-t-elle à surmonter toutes ces épreuves ?

Note sur le réalisateur :

Né et élevé à Calcutta, Pradeep Sarkar est diplômé du Delhi College of Arts. Après 17 années passées au sein d’importantes agences publicitaires, il a franchi le pas de la réalisation et a su se forger une reconnaissance qui lui a valu plusieurs récompenses. En sept ans il a réalisé plus de 1000 spots publicitaires, 15 clips vidéos et quelques chansons pour des longs-métrages. Avec «Parineeta» il signe avec succès son premier long-métrage.


Très cordialement

Josiane Racine - ASSOCIATION FRANCE UNION INDIENNE
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Review from The Hindu, June 10, 2005 – Entertainement Delhi

A maverick, period!

by Anuj KUMAR

As "Parineeta" opens this Friday, Vidhu Vinod Chopra speaks about the making of the film based on Sarat Chandra Chattopadhyay's classic.

For me, bringing to contemporary India an idea that is valid almost 100 years after it was penned is fascinating. Vinod Chopra


Conventional has never been the word for Vidhu Vinod Chopra. This Friday Vinod is taking us back in time with Sarat Chandra Chattopadhyay's classic "Parineeta." Apart from producing the film, Vinod has adapted the novel to a screenplay and the maverick says it has taken him two-and-a-half years. It's not the first time, though. He did it with the flourish of a painter in "1942 - A Love Story", a good decade before Bollywood saw a trend in period films.

"Well `Parineeta' is not my idea. It's really Sarat Chandra Chattopadhyay's idea. I read it when I was a kid. It's a fascinating novel, one of the best he has ever written. And for me something to do to bring to contemporary India and contemporary world, an idea which is valid almost 100 years after it was penned, that's fascinating."

The setting

Written in 1914, the man has brought the idea to the `60s. Why not today, when the idea - the differences in the perception of love and commitment between a man and woman - is still valid?

"I did do the test in `90s. But I thought to do the justice to the great ethic that Sarat Babu wrote it would be appropriate to go back in time slightly. So really going back to `60s is going back in time and yet making it contemporary. It's best of both the worlds. It is new yet old."

The classic has already been adapted in 1953 by Bimal Roy, with Ashok Kumar and Meena Kumari in the lead but Vinod says the thespian's work was never at the back of his mind.

"I actually had not seen the film till I had almost written half the screenplay. I did see the film for reference when I had done half the screenplay and my version is very different."

Cinematic liberty

Adaptations always lead to questions over cinematic liberties. Here too, Raima Sen's character has been extended beyond the novel's pages. Counters Vinod, "Well, it's not cinematic liberty. It's a free adaptation of his book and in the free adaptation it's not the way the book is. Sanjay Dutt's character Girish is also different. It's like the basic idea is the same but a completely new screenplay. "

In a country where "Devdas" finds mass approval and "Bose" bites dust at the box office, Vinod doesn't agree it's easier to woo viewers with fictional heroes of novels rather than real life heroes. "I think a good screenplay is a good screenplay whether it's `Bose', `Gandhi' or `Parineeta'. If it's an entertaining story, it's a screenplay that is tightened, it will work anyway."

Talking about the casting, Vinod says he has gone against the type - be it the newcomer Vidya Balan for the title role or the post modern comic caper Saif Ali Khan in his first period saga. "The selection finally boils down to can you act or you can't act. All we look for is that our actors strive for excellence. And if they are ready to strive for excellence we strive with them. What clicked in Vidya's favour is she is a fine actress. For Saif playing Shekhar was a test, and he is absolutely excellent. As for Sanjay, I believe he can do everything, from `Mission Kashmir' to `Munnabhai...' everything."

"Parineeta" is one of the rare Bollywood films to be shot in Kolkata, as the City of Joy has never been considered cost effective. Vinod agrees, "It was very difficult to shoot there and one of the reason we went there is because the original book is based in Calcutta and to bring in authenticity to what we were doing it was imperative that we go to Kolkata though it was not cost effective, it was lot of trouble, but we did it." Vinod adds a small portion has been shot in Darjeeling as well.

After "Munnabhai... ", here again Vinod has let his baby to be directed by a new comer Pradeep Sarkar, known for his adfilms. "It was not difficult. I never wrote the screenplay in order to direct it. It was always written so that Pradeep Sarkar would direct.

Grooming proteges

Ask him as a producer if he is following the trend of grooming protégés particularly when his last two directorial outings "Kareeb" and "Mission Kashmir" failed to connect with the audience, and Vinod takes umbrage. "Well I never did it because it's the trend. It's because I believe this film should be made. They are close to me and are excellent filmmakers."

He continues, " My confidence is beyond box office failures or hits. I make movie that I believe in. If they work very good. Don't forget that `Munnabhai' was not bought even after it was ready, but that didn't deter me." He promises to return with "Yagna." "I am already in pre-production and shortly I go into shooting."

For now, it's time to take another flight, a flight to Amsterdam where "Parineeta" is premiering at IIFA Awards.

Anuj KUMAR

Review from The Hindu, June 10, 2005 – Entertainement Delhi

http://www.hinduonnet.com/thehindu/fr/2005/06/10/stories/2005061001970400.htm

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Review from The Hindu, June 17, 2005 – Entertainement Chennai and Tamil Nadu

http://www.hinduonnet.com/thehindu/fr/2005/06/17/stories/2005061703310300.htm

Sensuous and crisp

by Susan Muthalaly

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Wikipedia

http://en.wikipedia.org/wiki/Parineeta_(2005_film)

Sunday, May 04, 2008

Film Just a Kiss / Ae Fond Kiss de Ken Loach le lundi 05 mai à 21h sur ARTE





Commentaires de Mamod Meralli Ballou et d'
Azad et Cécile Nassor sur le film de Ken Loach, Just a Kiss. D'autres commentaires sont les bienvenus et ne seront publiés qu'avec l'accord de leurs auteurs. (Mounir)
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Mamod Meralli Ballou :

06 mai 2008

Bonjour


J'ai vu le film hier soir et effectivement il est intéressant de constater l'écart entre deux cultures et les difficultées rencontrées par celles et ceux qui souhaitent faire fi de leur "héritage" que d'autres qualifieraient de "fardeau".

Ce film nous rappelle que dans le sens communautaire, les aspirations individuelles doivent s'effacer devant les intérêt du goupe (famille, communauté culturelle, communauté cultuelle...). L'autre aletrnative est de faire passer en avant le désirs personnels avant celle des proches. Les deux ont des avantages et des inconvénients, il m'est difficile de rejeter un modèle en bloc. La lutte du modèle communautariste face au modèle indvidualiste.....

En tout cas avant de juger l'autre il faut s'efforcer de se mettre dans sa peau, facile à dire et plus difficile à aire....

Bonne journée à tous.

Mamod
mmeralliballou@wanadoo.fr

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Azad et Cécile Nassor :

05 mai 2008

Bonsoir Mounir,

Nous venons de voir le film just kiss après avoir lu ton message. Je me souviens que tu nous avais conseillé le film il y a 2 ou 3 ans et que nous n'avions pas pu le voir.

Il soulève effectivement le problème de la transplantation des familles qui se regroupent en communauté dans le pays d'adoption, et les relations des jeunes générations avec les européens. Azad et moi-même nous sommes sentis concernés.

Très cordialement,

Azad, Cécile
azad.nassor@free.fr
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Ne manquez pas Just a Kiss / Ae Fond Kiss de Ken Loach ce soir (05 mai 2008) sur ARTE à 21h00 !

Don't miss Just a Kiss / Ae Fond Kiss by Ken Loach this evening (May 05, 2008) at 9 PM on ARTE !


Ae Fond Kiss / Just A Kiss (2004) de/by Ken Loach avec/with Atta Yakub, Eva Birthistle, Ahmed Riaz, Shabana Akhtar Bahsh

Synopsis (source: arte.tv/fr) : Casim appartient à la deuxième génération pakistanaise de Glasgow. DJ reconnu, il rêve d’acheter son propre club. Ses parents, Tariq et Sadia, des musulmans pratiquants, projettent de lui faire épouser une de ces cousines, Jasmine. Mais Casim rencontre Roisin, une brillante jeune femme irlandaise, professeur de musique au lycée où étudie sa sœur Tahara. Ils tombent follement amoureux et se heurtent avec violence aux préjugés de leurs communautés respectives.

(source ARTE : www.arte.tv/fr // http://www.arte.tv/fr/cinema-fiction/cinema-sur-ARTE/cette-semaine/2028834.html)


Extract from The Guardian, written by Peter Bradshaw (September 17, 2004)

An unfashionable streak of optimism and humanism runs through Ken Loach's new movie, scripted by Paul Laverty: an appealing Romeo-and-Juliet tale with lovely, unaffected performances about a second-generation Pakistani man who falls in love with the young Irish Catholic woman who teaches music at his sister's school. Loach's 1984 documentary about the miners' strike asked: whose side are you on? That question is here made very difficult by the Balkanisation of culture and politics - and by the mysteries of the human heart.

Casim (Atta Yaqub) is a DJ in Glasgow who dreams of owning his own club, but for his family's benefit acts the role of dutiful son with an accountancy degree, blandly accepting the marriage that his Muslim parents are arranging for him. Roisin (Eva Birthistle) has a more or less amicable separation from her husband and lives alone, teaching at the state Roman Catholic secondary, which we see explode into out-and-out disorder when Casim's feisty younger sister Tahara (Shabana Bakhsh) announces at her debating club that she rejects western labels and calls herself Glaswegian, Pakistani - and also a Rangers supporter. Short of actually donning a bowler and singing The Sash, Tahara could do nothing more incendiary. A virtual riot kicks off outside the school gates; Casim intervenes to help, locks eyes with the beautiful Roisin and winds up moving in with her.

The love affair of a south Asian man and a white woman is only the second most dangerous interracial love story. Reversing the sexual roles would raise the stakes, even potentially bringing us into the world of the "honour killing", the murder of errant young women by their outraged families - of which there has been at last one suspected case a year in the UK for the past decade. It would make for a very different kind of film, and it might also be more difficult to find a south Asian actress, professional or non-professional, prepared to do the reasonably explicit bedroom scenes that Birthistle has here with Yaqub.

(source: Peter Bradshaw, Friday September 17, 2004, The Guardian
http://film.guardian.co.uk/News_Story/Critic_Review/Guardian_Film_of_the_week/0,,1306044,00.html#article_continue)

Revue de presse / Press reviews

Arte :

http://www.arte.tv/fr/cinema-fiction/cinema-sur-ARTE/cette-semaine/2028834.html

BBC :

http://www.bbc.co.uk/dna/collective/A3009098

IMDB :

http://www.imdb.com/title/tt0380366/plotsummary

http://www.imdb.com/title/tt0380366/

The Guardian :

http://film.guardian.co.uk/News_Story/Critic_Review/Guardian_Film_of_the_week/0,,1306044,00.html#article_continue

The New York Times :

http://movies.nytimes.com/2004/11/26/movies/26kiss.html?_r=1&oref=slogin

Monday, April 21, 2008

NAGIN : Réponses, Questions et Objections à Salim Karim, Ashock Monany, Akil Amiraly, Firoze Hiridjee et tous les membres de NAGIN

Plusieurs de mes correspondant(e)s m'ont demandé si, à la suite de mon précédent message du 21 avril (voir ci-dessous), j'avais reçu quelque réponse que ce soit de la part des principaux membres dirigeants de NAGIN"(Ashock Monany, Salim Karim, Akil Amiraly, Firoze Hiridjee, etc.). A ce jour, samedi 10 mai, je n'ai eu aucune réaction, aucun email de leur part. J'espère qu'ils apporteront toutes les clarifications et toutes les réponses aux questions qui leurs ont été posées dans mon message du 21 avril. Bien entendu, elles seront publiées intégralement pour que tous les membres de NAGIN, aussi loin soient-ils, puissent en prendre connaissance.

[message du 22 mai 2008 - Mounir]

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Date :
Mon, 21 Apr 2008 16:06:43 +0100 (BST)

From:
"Mounir Nassor" (mounirnassor@yahoo.co.in)

To : Ashock Monany (a.monany@ifrance.com), Akil Amiraly (akilamiraly@yahoo.com), Azad Monany (azadmonany@hotmail.com), Firoz (birbal@free.fr), Sophie Blanchy (blanchysophie@yahoo.fr), Salim Karim (devasmita1508@yahoo.com), Salim Karim (devasmita21@orange.fr), Firoz Hiridjee (firoz.hiridjee@dph-lingerie.com), Goulshan Cassam Chenai (goulshan@wanadoo.fr), Nachou Issoufaly (issoufalynachou@hotmail.com), Akbar Karmaly (karmaly.akbar@neuf.fr), Akbar Karmaly (madaphar@sipromad.com), Marazia Gandjee (marzie.gangdiee@orange.fr), Mounir Hassanaly (mounir@hassanaly.com), Nasrine Mamodaly (nasmamodaly@yahoo.fr), Amena Chotia (radize2003@hotmail.com), Razia Dandjee (rajia.dandjee@paris.fr), Razia Dandjee (rdandjee54@yahoo.fr), Chenai (rh.chenai@tiscali.fr), Salma Hassanaly (salmahassanaly@yahoo.com), savitri75@wanadoo.fr, Yasmina Meralli (yasmeralli@yahoo.fr), Zohra Hiridjee (zohra.hiridjee@free.fr)

Subject : ...réponses, questions et objections à Salim Karim, Ashock Monany, Akil Amiraly, Firoze Hiridjee et tous les membres de NAGIN

Salim Karim (et Ashock Monany, Firoze Hiridjee, Akil Amiraly, Nachou et Zakiou Issoufaly et l'ensemble des membres du bureau ou conseil d'administration et l'ensemble des membres de NAGIN),

Comme je me suis engagé à les faire, voici mes commentaires "point par point" en réponse à ton message particulièrement fallacieux et écœurant du 02 avril 2008.

Tu indiques dans ton message :

Lors de notre Assemblée Générale du 30 mars 2008, tu as exprimé le souhait de devenir membre du conseil d'administration de l'association NAGIN.

Objection 1 : C'est entièrement faux ! Premier mensonge honteux !

J'étais déjà membre actif de NAGIN et ce depuis le 23 octobre 2007, mon admission a été confirmée sans aucune réserve par la totalité du bureau et par toi-même, par Ashock Monany et par Akil Amiraly lors de divers échanges de courriers. J'ai même pris part aux votes qui ont eu lors de cette réunion du 23 octobre ! Enfin, j'ai même été explicitement mandaté par l'ensemble du bureau pour me rendre à Rajpipla (toi y compris !) lors de mon séjour au Gujarat qui devait commencer le 25 octobre 2007 (soit deux jours après cette réunion).

Question 1 : Alors que j'étais membre actif de NAGIN depuis cette date du 23 octobre 2007, de quel droit, par quelle référence à quel(s) article(s) des statuts de NAGIN, vous m'avez tenu tenu à l'écart et vous ne m'avez jamais informé ni convoqué aux réunions postérieures à celles du 23 octobre 2007, notamment les réunions du bureau des mois de décembre 2007, de janvier, février et mars 2008 , avant celle du 30 mars, et des échanges de correspondance concernant « les problèmes » que vous aviez avec Aména Chotia ?

Question 2 : Pourquoi n'ai-je jamais reçu le compte-rendu de la réunion du 23 octobre 2007 ?

Tu ajoutes dans ton message :

Malheureusement nous avions oublié d'apporter les statuts, et je ne me souvenais plus des termes exactes, que j'ai consulté par la suite.
Dans nos statuts il est mentionné : " L'association est administré par un conseil d'administration de 12 membres au plus et de 4 membres au moins choisis parmi les membres fondateurs et actifs."

Conformément à nos statuts nous avons établi une convention dans NAGIN, qui dit que les membres du conseil d'administration sont d'abord des anciens adhérents et qui ont déjà travaillé comme membre actif.

Par conséquent je suis au regret de t'informer que nous ne pouvons pas te nommer membres du conseil d'administration. J'ai adressé le même message à 3 autres personnes dans ton cas qui m'ont dit qu'ils comprennent la situation.
Objection 2 : Cette décision est complètement illégale !

Je conteste entièrement cette décision et je demande expressément à continuer à faire partie du conseil d'administration de NAGIN. Comme tu l'indiques toi-même, la priorité est donnée aux anciens membres actifs du conseil d'administration. Comme je l'ai indiqué plus haut, mon admission et mon intégration comme membre actif avait déjà été validée le 23 octobre 2007 lors de la réunion chez Nachou et Zakiou Issoufaly. As-tu déjà oublié tout cela ? Cette reconstitution du bureau est tout à fait illégale et contraire aux statuts car les membres du précédent bureau n'ont pas démissionné et que la nouvelle présidente, Aména Chotia, n'a jamais fait part de son intention de démissionner. C'est vous, toi, Ashock Monany et vos comparses, qui l'avez honteusement « évincée » et «mise à la porte» d'une façon odieuse.

Question 3 : Par conséquent, par quelle référence statutaire, par quel article et de quel droit, certaines personnes sont-elles choisies pour figurer dans ce conseil d'administration et quels articles des statuts t'autorisent, toi et Ashock Monany, à en écarter voire éjecter d'autres ?

Question 4 : Merci de me scanner l'intégralité des statuts et me les envoyer par email. Ils seront également mis sur mon blog pour que tout un chacun puisse vérifier le bien-fondé de ce que tu indiques. Si tu n'es pas en mesure de me les scanner et me les envoyer par email, merci de me les adresser par lettre recommandée avec accusé de réception à mon domicile (Zohra Hiridjee a mon adresse) ou tu peux me la demander par email également.

Tu ajoutes dans ton message :
Par ailleurs notre association a déjà subit deux incidents dont tu es la cause.

Je suppose que les deux incidents que tu évoques sont :

  1. mon intervention sur le projet Rajpipla
  2. ma soi-disant affirmation que « NAGIN est une secte »

Sur le premier point, tu précises :

A. Concernant notre projet dans le Gujarat, tu as semé le trouble dans les esprits en nous demandant de suspendre toute aide et subvention, alors que tu n'es même pas allé à Rajpipla, le site ou se trouve nos projets.

Objection 3 : Faux ! Encore un mensonge honteux !

Je trouve que toi et Ashock et vos comparses, vous êtes d'une mauvaise foi inouïe !! Pourquoi ne précises-tu pas les termes et le contexte précis de ma mise en garde et pourquoi n'expliques-tu pas pourquoi je ne suis pas allé à Rajpipla ?

Premièrement, je ne suis en effet pas allé à Rajpipla et tu sais très bien pourquoi, tout comme le savent tous les autres membres du bureau qui ont été régulièrement informés par moi-même par email. Personne ne peut me contester cela et, si besoin, je peux aussi te le prouver formellement.

En effet, je devais me rendre à Rajpipla expressément mandaté par l'ensemble du bureau réuni chez Nachou et Zakiou Issoufaly le 23 octobre 2007 pour vérifier le bon fonctionnement de ce projet car, comme tu l'avais souligné ce soir-là, les rapports venant de Manoj Mishra et de son épouse Jagruti (vos correspondants sur place à Ahmedabad et Rajpipla) étaient très imprécis, très vagues et que, par ailleurs, ils ne répondaient pas à vos questions et ce depuis fort longtemps (je vous cite!). Aucun d'entre vous, toi, Akil Amiraly et Ashock Monany en particulier, vous ne saviez plus ce qu'il en était advenu de ce projet et des investissements passés qui se chiffrent en plusieurs milliers d'euros, si ce n'est plusieurs dizaines de milliers d'euros.

D'un point de vue financier, tu as déclaré devant tout le monde ce soir-là (le 23 octobre) qu'ils avaient suffisamment de fonds pour tenir plusieurs mois encore et que d'autres fonds pourraient leur être transmis mais seulement à réception de leurs rapports et de leurs précisions notamment chiffrées et comptables qui faisaient cruellement défauts malgré tes relances répétées et de celles d'Akil Amiraly. Je voudrais bien vérifier si vous l'avez vraiment fait et j'espère que tu nous justifieras et que tu nous prouveras, tout comme Akil Amiraly, que vous les avez bien relancés «régulièrement» comme tu l'as affirmé et répété ce soir-là.

Mon séjour à Rajpipla avait pour objectif de vérifier ce qu'étaient devenus les fonds versés par NAGIN jusqu'au 23 octobre 2007 et de vérifier le bon fonctionnement de cette « école ». Je reviendrai sur cette « école » plus loin.

La seule et unique raison pour laquelle je ne me suis pas rendu à Rajpipla, c'est à toi, Salim Karim et Akil Amiraly qu'on le doit, car c'est vous deux qui m'aviez donné de fausses informations sur la distance qui sépare Rajpipla et Ahmedabad où je devais séjourner avec mes parents fort âgées (75 ans et 77 ans). Akil Amiraly, Ashock Monany, sa femme Moumtaz et toi même sont les principales personnes responsables de ce projet et vous ne saviez même pas que Rajpipla se trouvait à 5 (cinq!) heures d'Ahmedabad (!!) et non 1h30 voire 2 (deux) heures comme vous me l'aviez répété à plusieurs reprises lors de notre réunion du 23 octobre chez Nachou et Zakiou Issoufaly.

Tu sais très bien (et je l'ai indiqué par email à l'ensemble du bureau depuis mon séjour à Ahmedabad même) que du fait que j'étais accompagné de mes parents qui sont très âgés, souffrant eux-mêmes de longues maladies fatigantes, de rhumatismes et d'arthrose à un stade avancé, il n'était absolument pas question de leur faire supporter la fatigue et le calvaire d'une expédition sur une telle distance d'autant qu'il faudrait faire cela en une journée car, suivant les informations obtenues auprès de Jagruti et de Manoj à Ahmedabad, les conditions de logement, d'hygiène et de sanitaires à Rajpipla ne sont pas du tout adaptés pour des personnes âgées.

Des gens comme toi, Akil Amiraly et Ashock Monany, ne pas savoir où se trouve Rajpipla en dit long sur votre connaissance de ce projet qui vous tient tant à cœur et que vous semblez avoir piloté depuis son origine !

Par ailleurs, concernant cette fameuse « école » à Rajpipla dont Akbar Karmaly n'a que des éloges dans son message écœurant du 04 avril 2008, lors de la réunion du 23 octobre chez Nachou et Zakiou Issoufaly, lorsqu'on lui a demandé de présenter ce projet qu'il avait piloté avec toi, Salim Karim, et Ashock Monany, Akil Amiraly a déclaré que « NAGIN avait créé cette école dans un village où il n'y en avait pas ». Peu après, dans le plus grand embarras et je ne parle même pas de honte (!!), il a été « repris » par Ashock Monany pour « recadrer » cette affirmation en disant qu' « en fait, il y avait bien une école dans le village mais que, comme toutes les écoles publiques en Inde, celle-ci ne fonctionnait pas bien du tout et que « le centre » [vous remarquerez ce changement subtil de terme important à souligner ici car il ne s'agit plus d' « une école » désormais] créé par NAGIN venait compléter les manquements de l'école publique indienne. »

Ce petit échange montre à quel point les gens censés avoir piloté ce projet de A à Z connaissent la situation et les conditions de ce « centre » (Ashock Monany) ou de cette « école » (Akil Amiraly). Lors de la discussion qui a suivie, il a été question « de cours de soutien » puis il a été dit qu'à un moment, Jagruti et Manoj Mishra ne trouvaient pas d'éducateur pour rester dans ce centre, pour le gérer et donner les cours dont les enfants ont besoin pour les empêcher d'aller dans les champs aider leurs parents et pour leur permettre d'avoir une éducation (je vous cite encore!) mais que tout cela remontait à fort longtemps et que l'on avait plus de précisions depuis de longs mois ! Tout cela pourra être confirmé par Yasmina Meralli, Farida (je lui présente mes excuses, je ne connais pas son nom de famille), Firoze et Zohra Hiridjee, Rafick Cassam Chenai, Aména Chotia, Marazia Gandjee, Razia Dandjee, Nashou et Zakiou Issoufaly qui étaient également présents à cette réunion du 23 octobre.

Enfin, à cette réunion du 23 octobre 2007 chez Nachou et Zakiou Issoufaly, Akil Amiraly était censé amener un compte-rendu de Mickael et Caroline, d'Abidbhai et Lailaben qui s'y était rendus précédemment mais Akil était incapable de dire quoi que ce soit : il n'avait pas leur rapport, il ne savait pas qui ils étaient, il ne savait rien ! Pour quelqu'un qui devait avoir préparé cette réunion du 23 octobre sur Rajpipla (qui figurait à l'ordre du jour), un projet qu' il a, je le répète, piloté depuis ses origines avec toi-même et Ashock Monany, et qui semblait quand même au courant que des personnes s'y étaient rendus, c'est assez affligeant !

J'ai su par Jagruti Mishra à Ahmedabad que Mickael et Carolina (l'une de ces deux personnes au moins) seraient les neveux du fameux Akbar Karmaly, membre fondateur de NAGIN et qui est si fier de ce qui se passe à Rajpipla (voir son message du 04 avril) et qui j'espère nous transmettra le rapport détaillé de ses neveux que nous attendons tous depuis fort longtemps. Je vous avais indiqué et informé de cette étroite parenté entre Mickael et Carolina et Akbar Karmaly très rapidement et je vous avais demandé de les contacter pour que leur rapport nous soit transmis. A ce jour, rien n'a été fait !

Mais, peut-être que ce rapport n'est pas très flatteur sur les activités de ce « centre-école » et qu'il vaut mieux ne pas en parler, d'où, peut-être, le silence et l'embarras sur cette visite par ces personnes depuis tant de mois. Il vous appartient d'apporter toutes les précisions à ce sujet car les membres de NAGIN ont légitimement besoin de connaître pourquoi nous n'avons jamais eu de rapport de Mickael et de Carolina, d'Abidbhai et de Lailaben.

Enfin, tout récemment, Parina Barday aurait décrit, il y a deux ou trois semaines, devant plusieurs personnes, la situation de ce « centre-école » à Rajpipla comme étant « accablante » et « affligeante » (le conditionnel s'impose car je n' étais directement présent lorsque ces propos ont été tenus), que les enfants n'y ont même pas de tables et de chaises, que le gardien n'avait même pas été payé depuis au moins deux mois, que c'est elle, Parina Barday, qui aurait payé le salaire de ce gardien elle-même de sa propre poche (!!), que Jagruti a refusé de prendre des chèques donnés par Parina Barday pour payer quelques frais immédiats de ce centre, devant le refus de Jagruti de ne pas prendre de chèques, elle a dû lui donner des sommes en espèces comme réclamé par Jagruti !!

J'espère vivement que Parina Barday nous fera un compte-rendu détaillé de sa visite par écrit pour que l'ensemble des membres de NAGIN puisse en prendre connaissance et aussi pour que les autres personnes qui ont entendu ses propos puissent confirmer qu'elle n'a pas changé (sous l'influence de qui que ce soit) ce qu'elle a déclaré lors de ce fameux dîner. Bien entendu, tout cela sera mis sur mon blog pour que tous puissent en prendre connaissance. Malheureusement, je n'ai pas les coordonnées de Parina, mais j'espère que les membres de NAGIN qui la connaissent lui en feront la demande.

Depuis notre réunion du 23 octobre 2007, entre les contradictions et les propos confus de toi-même, d'Akil Amiraly et d'Ashock Monany (problème de distances, l'objet et la nature réels de ce « centre-école », etc. ), puis les longs entretiens que j'ai eues avec Manoj et Jagruti Mishra à Ahmedabad qui m'ont encore embrouillé sur ce en quoi consistait ce « centre-école », je vous ai adressé (à la totalité des membres du bureau sauf peut-être Farida, car je n'avais pas son adresse mail) un message vous informant très rapidement :

  1. que je ne pouvais pas me rendre à Rajpipla vu la distance trop longue par rapport à Ahmedabad étant donné les conditions de santé de mes vieux parents (je me répète : vous m'aviez mal informé à ce sujet !, Rajpipla ne se trouve pas à 2 heures mais à 5 heures d'Ahmedabad !!)
  2. que Manoj et Jagruti m'ont déclaré n'avoir jamais reçus de messages de relances et de précisions de ta part ces dernières semaines voire ces derniers mois, ni de la part de qui que ce soit d'autres (d'Akil Amiraly par exemple...) sur les activités de ce centre à Rajpipla, ce qui, comme tu nous avais affirmé le contraire lors de la réunion du 23 octobre, m'a « sérieusement perturbé »
  3. qu'ils n'avaient même pas reçu ton email annonçant ma visite (!!), mais qu'ils en avaient pris connaissance que par l'email que moi je leur avais adressé avant mon départ

Tous ces éléments réunis, plus le fait que vous n'aviez plus aucune idée de ce qui se passait à Rajpipla (voir ce que j'ai dit plus haut sur les propos contradictoires d'Akil Amiraly, Ashock Monany et de toi-même, Salim Karim, qui sont suffisamment éloquents à ce sujet), m'ont conduit à vous demander de ne plus envoyer de fonds à Rajpipla avant de n'être parfaitement assuré de ce qui s'y passe et pas avant d'y avoir envoyé une mission de vérification surprise, car si elle était annoncée aux époux Mishra et préparée par eux à l'avance (comme ils comptaient le faire avec moi), cette opération de contrôle et de vérification ne serait ni sincère ni fiable.

Je rappelle ce que j'ai dit plus haut que toi-même, Salim Karim, tu avais déclaré que les fonds précédemment envoyés à Rajpipla étaient suffisants pour de nombreux mois à venir encore.

Question 5 : Comment expliquer alors, comme l'a déclaré Parina Barday, que le gardien n'était plus payé et comment expliquer le comportement de Jagruti sur son refus de prendre des chèques et le fait qu'il n'y ait ni tables ni chaises pour les enfants et qu'ils soient dans un état «pitoyable» de saleté et d'hygiène ?

Question 6 : Ashock Monany, Firoze Hiridjee, Akil Amiraly et toi-même avaient déclaré lors de la réunion du 30 mars dernier que plus de 13.500 euros ont été « récemment » envoyés à Rajpipla. Quand une somme aussi importante a-t-elle été envoyée en Inde ?

Question 7 : Quelle décision du bureau a autorisé l'envoi de cette somme de plus de 13.500 euros ? Qui était présents à cette réunion du bureau ? Cet envoi contredit complètement tes propos du 23 octobre 2007 sur le fait que Manoj et Jagruti avaient suffisamment de fonds pour tenir quelques mois encore et que les autres fonds ne seraient versés qu'à réception de comptes chiffrés précis, de rapports exhaustifs et complets sur les activités de ce «centre-école».

Question 8 : Sur la base de quels rapports avez-vous décidé de verser cette si importante somme ? Pourquoi ces rapports ne m'ont-ils pas été transmis alors que vous m'aviez confié la mission de m'occuper de cette vérification le 23 octobre 2007 et que j'étais membre actif du bureau comme indiqué plus haut ?

Question 9 : Ashock Monany a déclaré publiquement lors de la réunion du 30 mars 2008 à la Maison de l'Inde que, compte tenu de la législation en Inde et de tracasseries éventuelles, en France comme en Inde, il n'était pas possible de transférer cette somme de plus de 13.500 euros par des voies régulières et légales car NAGIN aurait eu des problèmes ici en France et que, de même, les gens qui sont censés s'occuper de ce centre de Rajpipla auraient également eu des problèmes avec les autorités indiennes. A qui, directement et/ou indirectement, cette somme a-t-elle été précisément remise ? S'il s'agit d'une association, veuillez me donner leurs coordonnées précises ? S'il s'agit de personnes physiques, veuillez me donner leurs coordonnées précises car je compte bien vérifier que cette somme colossale leur est bien arrivée et qu'ils en font bon usage.

Question 10 : Si ces sommes ont été versées en espèces (voir plus haut sur le refus de Jagruti de prendre des chèques suivant les indications de Parina Barday), quels précautions avez-vous prises pour qu'une somme aussi importante ne soit pas détournée et/ou mal utilisée ?

Question 11 : Ashock Monany a publiquement déclaré lors de cette réunion avoir utilisé « des voies irrégulières » pour transférer une somme aussi importante. En utilisant « ces voies irrégulières » pour ce transfert, n'avez-vous pas mis en péril et en danger la responsabilité de l'ensemble des membres de NAGIN (la mienne y comprise puisque je suis membre et membre actif de NAGIN) car, comme vous le savez, NAGIN et ses membres (et donc moi-même) peuvent être l'objet de poursuites judiciaires et pénales pour infractions à la législation en vigueur sur le transfert des fonds ? Quelles précautions avez-vous prises pour sauvegarder les intérêts des membres de NAGIN ?

Concernant la seconde « raison » de mon exclusion, tu indiques :

B. Lors de l’assemblée générale tu as qualifié notre association de «secte»

Objection 4 : Faux ! Encore un mensonge honteux !

Comme j'ai été pris à partie par Ashock Monany, sa femme Moumtaz Monany, ta femme Devasmita Karim, en raison de mes commentaires et de mes reproches faits précédemment à Ashock Monany sur la façon odieuse avec laquelle il avait « éjectée » Aména Chotia (avec ta complicité et celle d'autres membres du bureau), j'ai déclaré mot pour mot :

«nous ne sommes pas une secte, ni des béni-oui-oui, que nous avons le droit de débattre, de discuter et de faire part de nos objections lorsque l'on est pas content quand quelque chose va à l'encontre de ce en quoi l'on croit et de ce que l'on pense».
Une nouvelle fois encore, tu déformes d'une façon scandaleuse et éhontée mes propos et ne précise pas clairement le contexte dans lequel je les ai dits.

Tu as écrit ce message moins de quatre jours après les évènements et tu as déjà oublié (ou, je devrais dire « volontairement oublié ») les termes employés par moi-même et leur contexte que tu omet soigneusement d'indiquer dans ton courrier. Quel manipulateur et quel menteur !

Je voudrais aussi préciser à tous ceux et toutes celles qui n'étaient pas présents que j'étais assis à moins de 2 mètres de toi, tu ne peux en aucun cas faire valoir le fait que tu m'aurais éventuellement mal entendu car j'ai dit ces propos hauts et forts et, par ailleurs, lorsque je te les ai dit, je t'ai regardé droit dans les yeux !! Toutes les personnes présentes et de bonne foi pourront te le confirmer.

Tu indiques aussi :

Je suis un membre actif de Nagin depuis 2002, je connais donc très bien l'association et je désapprouve tes propos.

Tu as parfaitement le droit, mais je crois que j'ai plus de griefs à ton endroit que toi au mien !


Tu indiques enfin en des termes d'une hypocrisie inouïe :

Dans le soucis de préserver l'harmonie, la bonne entente et l'esprit constructif au sein de NAGIN, les membres du bureau et la majorité des membres actifs ont exprimé clairement qu'ils ne souhaitent pas que tu fasses partie de notre groupe de travail.

Objection 5 : Faux ! Encore un mensonge honteux !

Depuis plus d'une semaine, j'ai écris et j'ai relancé (voir mon blog à ce sujet) à l'ensemble des membres du bureau (sauf toi, Ashock Monany et Farida dont je n'ai toujours pas l'adresse mail) pour leur demander de confirmer leur accord sur mon exclusion et de m'indiquer quand ils s'étaient effectivement réunis pour débattre et décider de mon sort comme tu sembles l'indiquer si précisément dans ton message. A ce jour, lundi 21 avril, aucun d'entre eux, pas même tes plus proches soutiens, comme par exemple Akil Amiraly et Firoze Hiridjee, ne m'ont indiqué ni le jour de la réunion ni confirmé leur accord pour m'exclure du bureau ou du conseil d'administration de NAGIN. Nous avons là encore un exemple des façons et des méthodes très particulières et très contestables que toi-même et Ashock Monany vous employez pour manipuler les gens et leur faire dire et accepter des choses qu'ils n'ont probablement jamais faites.

Par ailleurs, dans cet extrait que je viens de citer, tu parles d' « harmonie », de « bonne entente » et d' « esprit constructif ». Comme je l'ai longuement indiqué à Akbar Karmaly (voir mon message du 06 avril 2008), il faudrait d'abord balayer devant ta porte et celle d'Ashock Monany, de Firoze Hiridjee et d'Akil Amiraly pour me donner des leçons de ce genre ! Ce que vous avez fait à Aména Chotia, la façon odieuse avec laquelle vous l'avez « dégagée », la façon odieuse avec laquelle vous l'avez publiquement discréditée le 30 mars dernier (et en son absence !) sont des preuves flagrantes de votre mauvaise foi, de votre duplicité, de votre malhonnêteté et de vos manigances. Tu trouves que c'est faire preuve de « bonne entente » que de jeter les gens en pâture en leur absence ? Tu trouves que c'est faire preuve « d'esprit constructif » que de « dégager » odieusement et si bassement quelqu'un comme Aména Chotia à l'insu de tous et sans autres formes d'explications que les soi-disant « invectives » qu'elle vous aurait adressées. Et après tout ce que tu as fait, tu as l'audace de me reprocher de ne pas « préserver l'harmonie, la bonne entente et l'esprit constructif au sein de NAGIN », après tout ce que je viens de démontrer sur ta duplicité et ta mauvaise foi (et celle d'Ashock Monany et de vos comparses) et ce qui s'est passé avec Aména Chotia, je trouve que tu as un sacré culot et un esprit particulièrement malhonnête !

Question 12 : Comme aucun des membres n'a voulu me répondre (et pour cause!), pourras-tu enfin me dire et le dire à l'ensemble des membres et sympathisants de NAGIN quand le bureau s'est-il réuni pour décider de cette mesure d'expulsion à mon égard ?

Question 13 : Tu déclares : « les membres du bureau et la majorité des membres actifs ont exprimé clairement qu'ils ne souhaitent pas que tu fasses partie de notre groupe de travail ». Qui étaient présents et comment s'est déroulé ce vote ?

Question 14 : Étant membre actif du bureau depuis le 23 octobre, comment se fait-il que je n'ai pas été convoqué à cette réunion me concernant directement ?

Question 15 : Dans une association loi de 1901, lorsqu'il est décidé d'exclure un membre, celui-ci doit être convoqué par lettre recommandée et on doit lui permettre de venir s'expliquer devant tous les membres de l'association à une date et heure fixée suffisamment à l'avance. Pourquoi cette règle n'a-t-elle pas été respectée à mon égard ? Quels articles des statuts vous ont-ils permis de me « dégager » aussi brutalement et aussi rapidement ?

J'espère vivement que toi, Salim Karim, Ashock Monany, Firoze Hiridjee et les autres membres du bureau que j'ai cité dans ce message, notamment Akil Amiraly concernant le projet Rajpipla, apporteront leurs réponses à mes questions très précises et elles seront, bien entendu, toutes publiées dans mon blog pour que tous les membres de NAGIN puissent en mesurer leur sincérité.

Objection 6 : Je maintiens ce que j'ai indiqué dans mes précédents messages, tu n'as aucune légitimité en tant que président et ce n'est pas à ce titre que je te réponds mais au titre de membre du bureau. Aména Chotia a été régulièrement élue au mois de septembre 2007 sur la péniche à Paris par un grand nombre de membres présents en cette fin d'après-midi-là. Elle n'a jamais explicitement indiqué qu'elle ne souhaitait plus être présidente mais que vous (toi, Salim Karim, Ashock Monany, vos femmes et d'autres membres du bureau) vous l'avez « éjectée » suivant des méthodes hideuses et éhontées comme cette lettre abjecte d'Ashock Monany qu'il a lue devant nous tous lors de l'assemblée du 30 mars dernier.

A la suite de cette élection d'Aména Chotia du début du mois de septembre 2007, le nouveau bureau a ensuite été constitué le 23 octobre 2007 (près d'un mois et demi après son élection) et personne n'y a fait part de la moindre réserve sur la « légalité » de cette décision. Par ailleurs, cette décision de l'assemblée du début du mois de septembre a même été officiellement publiée dans Pan Ka Patta (le journal de NAGIN que toi, Salim Karim, tu diriges avec Akil Amiraly !) et personne n'a fait part de la moindre objection.

S'il vous reste un peu d'humanité et d'honnêteté, toi et Ashock Monany et vos comparses, vous devriez avoir honte de bafouer à ce point et si ouvertement les décisions souveraines et ultimes des membres de NAGIN du mois de septembre 2007 et je me réserve le droit de vous poursuivre en justice si vous continuez à contestez la légalité de l'élection d'Aména Chotia de ce début du mois de septembre 2007.

Le 30 mars 2008, à la Maison de l'Inde, Ashock Monany et toi-même, expressément appuyés par Firoze Hiridjee et Akil Amiraly, vous avez déclaré que cette élection d'Aména Chotia était « illégale ». Si une telle élection a été « irrégulièrement » faite, seule l'assemblée des membres de NAGIN peut la déclarer telle et l'annuler et non pas le président, ou l'ancien président, d'une association. Le fait d'être président de NAGIN ne donne aucun pouvoir à Ashock Monany pour décider en lieu et place des membres et des décisions souveraines des membres de NAGIN qui n' ont pas été informés au préalable qu'ils avaient procédé à une élection soi-disant « illégale » sur la péniche au début du mois de septembre 2007.

Comme je l'ai dit plus haut, pendant plusieurs semaines, aucun d'entre vous n'a contesté la validité de l'élection d'Aména Chotia, que son bureau exécutif a même été constitué le 23 octobre 2007 (plus d'un mois et demi), ce n'est que bien plus tard, au cours du mois de novembre, décembre 2007, et surtout janvier et février 2008, lorsqu' Aména Chotia vous a demandé le détail précis des comptes et des réponses précises concernant ces activités et ces comptes de NAGIN que vous vous êtes fâchés contre elle. Vous avez alors tout fait pour l' « évincer » ou plutôt la « dégager » d'une façon répugnante et vous avez bassement et subrepticement déclarée le 30 mars dernier que son élection avait été « illégale » et qu'il fallait la remplacer sur le champ alors que pendant plusieurs mois aucun membre de NAGIN, ni moi-même qui fait partie du bureau et du conseil d'administration de NAGIN, n'a été tenu informé de cette « irrégularité » de cette élection de septembre 2007 et que, par ailleurs, Aména Chotia n'a jamais fait part de son intention de démissionner ou de se désister de son élection de septembre 2007. Vous ne trouvez pas tout cela « singulièrement étrange » ?!!...

Si toi, Salim Karim, Ashock Monany, Akil Amiraly, Firoze Hiridjee et d'autres personnes impliquées et concernées , vous ne répondez pas très clairement et dans un délai raisonnable (d'ici le 15 mai 2008) à toutes mes questions et objections contenues dans ce message, je me réserve également de vous poursuivre en justice pour les faits mentionnés plus haut car, en tant membre de NAGIN (cela est valable pour l'ensemble des membres de NAGIN également) , par vos procédés et par vos actions si peu claires, vous m'avez légalement mis en danger devant les autorités judiciaires françaises.

Mounir Nassor

(email : mounirnassor@yahoo.co.in / blog : www.myindias.blogspot.com)

Sunday, April 13, 2008

NAGIN : premières questions aux membres du conseil d'administration et aux membres de NAGIN (12 avril 2008)

Ce message a été envoyé le 11 avril puis un rappel a été envoyé le 12 avril. Entre le 11 avril et ce jour (22 avril), aucun membre du bureau de NAGIN ne m'a répondu ni apporté une quelconque clarification au sujet de mon exclusion prononcée par Salim Karim dans son message du 02 avril. Voici l'intégralité du message adressé au membres du bureau et aux membres de NAGIN. (ce message a été écrit le 22 avril 2008)

Date :
Sat, 12 Apr 2008 07:20:54 +0100 (BST)

From:
"Mounir Nassor" (mounirnassor@yahoo.co.in)

Subject: NAGIN : premières questions aux membres du conseil d'administration et aux membres de NAGIN (12 avril 2008)

To : "Akil Amiraly" (akilamiraly@yahoo.com), "Azad Monany" (azadmonany@hotmail.com), "Firoz" (birbal@free.fr), "Firoz Hiridjee" (firoz.hiridjee@dph-lingerie.com), "Goulshan Cassam Chenai" (goulshan@wanadoo.fr), "Nachou Issoufaly" (issoufalynachou@hotmail.com), "Marazia Gandjee" (marzie.gangdiee@orange.fr), "Mounir Hassanaly" (mounir@hassanaly.com), "Nasrine Mamodaly" (nasmamodaly@yahoo.fr), "Razia Dandjee" (rdandjee54@yahoo.fr), "Chenai" (rh.chenai@tiscali.fr), "Salma Hassanaly" (salmahassanaly@yahoo.com), "Yasmina Meralli" (yasmeralli@yahoo.fr), "Zohra Hiridjee" (zohra.hiridjee@free.fr), rajia.dandjee@paris.fr

PREMIERES QUESTIONS AUX MEMBRES DU CONSEIL D'ADMINISTRATION ET AUX MEMBRES DE NAGIN (rappel du 12 avril 2008)

11 avril 2008

Bonjour à tous et à toutes,

Dans son message du 02 avril, Salim Karim a prononcé mon exclusion du conseil d'administration sans même me donner l'opportunité de m'expliquer. Pour justifier cette exclusion, il me prête des propos totalement déformés et sortis complètement de leurs contextes.

De plus, il me reproche d'avoir (je le cite) "semé le trouble dans les esprits en nous demandant de suspendre toute aide et subvention, alors que tu n'es même pas allé à Rajpipla, le site ou se trouve nos projets". Là encore, il déforme totalement les choses d'une façon TOTALEMENT hypocrite et mensongère.

Enfin, il ne m'a même donné la possibilité de m'expliquer publiquement devant les membres du conseil d'administration et les membres de NAGIN alors que, pour toute exclusion, cela est exigé par les statuts de toute association régie par la loi de 1901.

J'ai trois questions à vous poser :

1/ Approuvez-vous (OUI ou NON) les décisions de Salim Karim ?

Il déclare dans cette même lettre : "les membres du bureau et la majorité des membres actifs ont exprimé clairement qu'ils ne souhaitent pas que tu fasses partie de notre groupe de travail."

2/ Avez-vous (OUI ou NON) été consulté pour mon exclusion puisqu'il indique qu'il vous aurait consulté et que vous avez voté à la majorité pour mon exclusion?

3/ Quand et où s'est tenue cette réunion ?

Merci d'avance de me répondre promptement, clairement et précisément.

Bien à vous,

Mounir Nassor

(email : mounirnassor@yahoo.co.in / blog : www.myindias.blogspot.com)

Friday, April 11, 2008

Samedi 12 avril à 17h : Film Daivanamathil par Jayaraj

22 avril 2008

Il y a un peu plus d'une semaine, le film de Jayaraj, Daivanamathil a été projeté à Paris par l'association France-Union Indienne. Ce film abordait le rapport entre les musulmans et le recours ou non à la violence en Inde, un sujet excellemment abordé et traité dans ce film !

Des centaines de personnes de nos communautés indiennes ont été informées au sujet de cette magnifique initiative et ont été invitées pour voir ce magnifique film. En particulier, les communautés gujarati de Paris ont été assez bien informées et même relancées. Nous étions environ une bonne cinquantaine lors de cette projection mais, à quelques très rares exceptions près, il n'y avait aucun indien...

Bien entendu, il fallait s'y attendre. En effet, il n'y avait aucun ismaélien, aucun bohra, aucun hindou et, bien sûr, aucun khoja bhai de chez nous ! Sur près de 5 à 8.000 personnes qui sont de ces communautés et qui sont sur Paris et la région parisienne, personne ne s'est déplacé pour voir ce film magnifique, très juste et très lucide. Il n'y avait même aucune personne affilié au club de gens dits "civilisés" du genre NAGIN et autres. Il n'y avait que des "topiaras" (des «blancs») et en grand nombre en plus !

Ce n'est, bien sûr, pas la première fois que je ne vois jamais personne de nos communautés indiennes à ce genre de manifestations culturelles...Le message de ce film, comme d'autres projetés en d'autres occasions, était d'une humanité, d'une puissance et d'une intensité remarquables. Mais, les indiens de chez nous préfèrent le manichéisme, les caricatures grossières et infantilisantes, les jugements à l'emporte-pièce si faussement teintés de dévotion et de piété.

Ce film remettait en cause bien des idées reçues, bien des préjugés qui circulent dans nos communautés indiennes, notamment chez celles qui sont du Gujarat et qui se sont dispersées dans l'Océan Indien pour se retrouver, pour une partie, en France, en Angleterre, aux Etats-Unis, au Canada et en bien d'autres contrées dites «modernes». Mais, ces indiens-là ont préféré ne pas venir de peur de voir leurs préjugés remis en cause. Comme je le disais dans un précédent message, "toutes les vérités ne sont pas bonnes à entendre"...

Tout cela est vraiment affreux et attristant...Vers quel monde allons-nous ?

Mounir Nassor (22 avril 2008)

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Dear friends, chèr(e)s ami(e)s,


See below for reviews and summaries of the movie Daivanamathil by Jayaraj from The Hindu and Wikipedia).

Si vous êtes à Paris ou de passage à Paris, ce samedi 12 avril à 17h, ne manquez surtout pas de voir le film de Jayaraj intitulé Daivanamathil (« In the name of God ») au Reid Hall à Paris (voir description et adresse ci-dessous).

Un débat et une discussion auront lieu après la projection de ce film autour d'un verre vers 19h - 19h30.

Le nombre de places pour ce film de samedi à 17h étant limité, veuillez très rapidement vous inscrire en indiquant simplement votre nom à : afui@msh-paris.fr

J'espère vous y voir très nombreux !

Date :

Samedi 12 avril 2008 de 17h à 20h

Adresse :

Reid Hall
4 rue de Chevreuse
75006 Paris

métro : Vavin
Tel : 01.43.20.33.07

Frais de participation: membres de l’AFUI, étudiants: 5€, non membres, 8€, règlement sur place (inscription préalable obligatoire)

Les places étant limitées, merci de bien vouloir vous inscrire, le plus rapidement possible à afui@msh-paris.fr

Merci aussi de relayer cette information autour de vous !

Bien à vous tous,

Mounir Nassor

(email : mounirnassor@yahoo.co.in / blog : www.myindias.blogspot.com)

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Voici le message de Josiane RacineAssociation France-Union Indienne


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Association France-Union indienne
54 boulevard Raspail

75006 Paris

afui@msh-paris.fr
site internet : www.afui.net


Madame, Mademoiselle, Monsieur,

L'AFUI a le plaisir de vous inviter à une nouvelle séance du ciné-club, le samedi 12 avril de 17h à 20h.

Nous serons comme toujours accueillis à Reid Hall : 4 rue de Chevreuse, 75006 Paris Tel : 01.43.20.33.07, métro : Vavin.

Le prochain film est un film d’auteur kéralais, réalisé en 2005 par Jayaraj : Daivanamathil (« In the name of God »)

Résumé :

Sahib, un musulman laïc convaincu, prend ses distances avec son petit-fils Anwar désormais attiré par les voies de l’extrémisme. Daivanamathil se penche sur la question du terrorisme d’un point de vue personnel et émotionnel à travers le cheminement d’Anwar, un jeune homme éduqué et progressiste se tournant vers le jihad, à la suite de la démolition de la Babri Masjid en 1992. Mais plus que l'histoire d'Anwar, le film raconte surtout celle de sa jeune épouse Samira, ouverte d’esprit, qui se consacre à un travail de réexamen de la lutte pour l’indépendance de l’Inde et du rôle joué par des responsables musulmans pour construire une nation laïque, dans l'espoir de libérer Anwar de ses nouvelles convictions. Rarement un sujet aussi délicat a-t-il été traité avec autant de maturité.

Nadine Tabouriech, co-directrice de Chalachitra-Europe, spécialiste du cinéma indien, présentera le film.

Très cordialement

Josiane Racine - ASSOCIATION FRANCE UNION INDIENNE

Synopsis du film :

« Daivanamathil » traite de l’extrémisme religieux comme d’un poison qui s’immisce dans la vie d’une société et d’une région (le Kérala) où la coexistence et la tolérance entre différentes religions semblaient jusque là bien établies. Le film dresse le portrait de Samira, une jeune femme dont les rêves sont brisés par le changement brutal d’état d’esprit d’une minorité au sein de sa communauté. Le film illustre les questions profondément troublantes qui hantent l’horizon sociopolitique de l’Inde contemporaine, le rôle joué par l’extrémisme dans une société séculariste et démocratique, et comment une petite minorité religieuse parvient à transformer l’image d’une religion comme l’Islam fondée sur le principe de « paix » en une idéologie de terreur et d’intolérance.

Note sur le réalisateur :

Jayaraj est diplômé en électronique et télécommunication. Il est l’auteur d’une vingtaine de long-métrages en malayalam. Réalisateur très reconnu au Kérala, il a déjà obtenu plusieurs récompenses à l’échelle nationale pour ses films précédents dont « Desadanam » (1996) et « Kaliyattom » (1997), une version kéralaise de l’Othello de Shakespeare revue à travers le théâtre traditionnel « kalliyattam » et « theyyam ».

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Review from The Hindu, July 21, 2005 – Metro Plus Delhi

All in the name of faith

« Daivanamathil » brings to light what it means to be a fundamentalist. Anuj Kumar reports.

To an extent economic condition is also responsible in making the Terrorists- Shoukath.

At a time when a certain section of society is out to propagate that a true Muslim and a true Indian can't reside in one soul, comes Daivanamathil (In The Name of God).

Directed by Jayaraj, the celebrated Malyalam filmmaker who already has four National Award winning films to his credit Daivanamathil is the story of Anwar, an educated Malayali youth. The story and script is by producer Aryadan Shoukath

Here Anwar is blissfully married to Samira, a freethinking individual but all havoc is let loose when Anwar goes to Aligarh Muslim University for post graduation which happens to be the period after the Babri Masjid demolition. There he comes into contact with the fundamentalist forces and transforms into a militant.

Shoukath says the story owes its origin to a personal experience. "There was a friend who was a staunch supporter of the communist ideology. But when he returned after completing his education from Aligarh, he was a changed man."

Isn't this a sweeping remark on an educational institution and reeks of North-South divide?

Denies Shoukath, "The film doesn't generalise the role of the educational institution. I believe to an extent economic condition is also responsible in the making of terrorists. In Kerala, Muslims are, in general, well off." But there is increasing presence of shakhas and counter Muslim League propaganda in the State. "It is, and people coming from the Gulf return with all kinds of stories but the impact is not as much as in the North."

Finding a solution

The film speaks of finding a solution for terrorism within the framework of the constitution without giving up on the fundamentals of faith. It also counters the fundamentalist lobby with dialogues like "Mahatma Gandhi and Maulana Azad read the Quran so they stood for a secular State while Jinnah who didn't read the holy book asked for a separate State on the basis of religion."

"Babri demolition and Gujarat carnage have cast serious doubts on the security of minorities. The Muslim youth is feeling restless but none is there to guide. The film says the solution doesn't lie in picking up the gun. One should fight the battles within the framework of Constitution, following the path shown by the National Movement."

Jayaraj and Shoukath have aesthetically woven the culture of Malabar Muslims into the storyline. Says Jayaraj, "Being not one from the community, it was difficult for me to understand their ceremonies, songs and lifestyle." Jayaraj, who is equally famous for his commercial potboilers, says with so much technology coming into cinema we are losing out on the simple aesthetics of cinema. "Daivanamathil allows me to do this. But mind you generally it's the money earned from commercial cinema that is used to produce such ventures."

(source: http://www.hindu.com/mp/2005/07/21/stories/2005072101200200.htm)

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Review from Wikipedia (date of download : April 10, 2008)


Daivanamathil is an award winning Malayalam movie directed by Jayaraj. Aryadan Shaukath is the producer. Playing the lead are upcoming stars Prithwiraj and Bhavana.The film is based on a Muslim story and throws light on the Babri Masjid demolition in December 1992 which had its repercussions on Kerala Muslims.Bhavana got State Award for best character actress for this film.

'Daivanamathil' is commendable as a film. The story itself has enough potential to go great guns. The story is about Anwar (Pritviraj) who discontinues his education further at the Aligarh Muslim University soon after his marriage. During his stay the Babri Masjid demolition occurs and as a result he turns a fundamentalist. His wife an educated Muslim girl (Bhavana) tries to alter and change the ideals of her Islamic fanatic husband. But to reform himself he rather chooses the way to jail and starts afresh. The thread of the story is the aftermath of the Babri Masjid demolition and the Gujarat riots.

Anwar encounters a group of Karsevaks in a train, all of them headed towards the demolition of Babri Masjid. The encounter greatly disturbs him and he is no longer the same loving and romantic husband to his wife as well as the engrossed PG student.

He writes a letter to Samira about his intentions and his decision to join Jehad to seek revenge on others. Anwar goes on to become a full time extremist and plants a bomb in a hotel at the Ramzan time. This hurts his grandfather a lot who is always against extremism.

Anwar on the other hand is unstoppable and believes that the deaths of innocents are a part of the Jehad. Sahib tells his grandson to stop all his activities at once and warns him about the ugly consequences, the community has to face, because of his deeds, but to no avail.

Meanwhile, Anwar lands up in jail. Samira only has one wish, her husband should come back to his normal life. He should become her old Anwar, romantic and soft person.

Prithviraj has again shown that he is the phenomenon waiting to happen. Bhavana too proves that she is no less in acting. Liberty Mammootty comes up with a superlative performance as the grand father. The music, editing and camera work, all deserves worthy mention.

The film overall is a guaranteed money back to the viewers with no hidden intentions or caste feelings. The director deserves kudos for his fine work.

(source: http://en.wikipedia.org/wiki/Daivanamathil)