Saturday, May 14, 2011

Jagjit Singh et ses musiciens - 15 mai 2011à 17h / concert EXCEPTIONNEL et UNIQUE à Paris


Artiste: Jagjit Singh et ses musiciens
Langues: hindi et ourdou
Genre: concert de ghazals (poésie chantée)
Durée: 2h30

Date: 15 mai 2011à 17h / concert unique à Paris

Pour fêter ses 70 ans et 40 ans de vie dans la musique, le roi du gazhal Jagjit Singh se produit en concert au prestigieux Théâtre du Palace, en concert unique. Artiste incomparable dans le genre du ghazal (poésie lyrique chantée), Jagjit Singh est un artiste qui n’a cessé d’innover sa composition musicale, toujours à la recherche de la perfection. Sa voix mystique est accompagnée à merveille par la musique enchanteresse du sitar, le table, la flute (bansuri), l’harmonium, et autres instruments indiens millénaires. Ses ghazals réflètent la personnalité élégante, suave et mélodieuse de l’artiste lui-même.

[présentation extraite du site du Palace]

Lieu:
Le Palace
8 rue du Faubourg Montmartre
75009 PARIS
Métro: Grands Boulevards (lignes 8 et 3)

Pour acheter vos places (il n'en reste plus beaucoup, dépêchez-vous!!!...)


Documentaire ARTE: Ramnami - "Les Tatoués de Dieu" (accès GRATUIT jusqu'au 19 mai)

Au coeur de l'Inde vivent les adeptes d'une forme ancestrale de culture et de philosophie religieuse: la Ramnami Samaj. Entièrement dévoués au culte de Dieu, ils tatouent son nom sacré partout, y compris sur leur corps. Ancrés dans des traditions millénaires, les Ramnami mènent une existence où la philosophie religieuse le dispute au dénuement le plus extrême. Mais qui succédera à leurs derniers représentants? (ARTE France, 2008, 43 min.)

(présentation extraite du site d'ARTE)

Cliquer sur le lien ci-dessous pour voir le documentaire (Ramnami - "Les Tatoués de Dieu") sur le site d'ARTE (accès GRATUIT jusqu'au 19 mai 2011) :


Extrait:


Wednesday, May 11, 2011

Documentaire ARTE: Une rizière dans les Garo Hills - accès GRATUIT jusqu'au 17 mai 2011

La tribu des Garo, dans le nord-est de l'Inde, cultive le riz selon des rites millénaires. Sur les Garo:
http://en.wikipedia.org/wiki/Garo_(tribe)
http://westgarohills.nic.in/people.htm
Sur le Meghalaya, site officiel de l'état du Meghalaya où vivent les Garo: 
http://meghalaya.nic.in/
Reportage ARTE en accès LIBRE et GRATUIT jusqu'au 17 MAI 2011 à partir du lien suivant:
http://videos.arte.tv/fr/videos/une_riziere_dans_les_garo_hills-3878946.html
Extrait: 

Wednesday, April 20, 2011

Documentaire France 5 - Bollywood Boulevard



Sanjay est un gitan du Rajasthan. Il a 22 ans, un sourire ravageur et il déborde d'énergie. Il vit sous une tente, avec ses parents, dans le quartier de Kalkaji, un faubourg animé de Delhi. Le père fabrique des outils, la mère les vend et les enfants feront pareil... Sanjay est instituteur dans une école du bidonville mais il rêve de devenir acteur et mannequin. Il part donc tenter sa chance à Bombay, pris en main par Nasser Abdullah, un acteur de seconds rôles qui a 20 ans d'expérience. Ce documentaire suit Sanjay dans cette aventure pleine de rebondissements... 
(présentation extraite du site de France 5)

en accès GRATUIT jusqu'au 03 mai 2011


http://documentaires.france5.fr/documentaires/bollywood-boulevard



Auteur : CAMILLE PONSIN
Durée : 52 minutes 
Realisateur : CAMILLE PONSIN
Production : QUARK PRODUCTION
Participation : FRANCE TÉLÉVISIONS

Extrait:

Documentaire France 5 - Kushti, la lutte indienne


La lutte indienne est un sport traditionnel aux règles strictes. Plutôt réservée aux hommes de la caste des Yadavs, cette discipline se pratique de génération en génération. Muna a 18 ans et rêve de devenir un grand champion. Il se soumet aux règles et s'entraîne quotidiennement dans la terre argileuse... 
(présentation extraite du site de France 5)

ACCES GRATUIT A PARTIR DE CE LIEN:

http://documentaires.france5.fr/documentaires/kushti-la-lutte-indienne

Auteur : GEORG SCHMITTVERA PERONE
Durée : 52 minutes 
Realisateur : GEORG SCHMITTVERA PERONE
Production : SUDWESTRUNDFUNK, IM. PULS FILMPRODUKTION

Extrait:

Monday, April 11, 2011

INTERVIEW DE L'AUTEUR JONAS PARIENTÉ, CO-REALISATEUR DU DOCUMENTAIRE "UN RICKSHAW DANS LA VILLE"



Shabbir est-il représentatif de la population qui fuit les campagnes ? Comment l’avez-vous rencontré ?
Jonas Parienté: J’ai rencontré Shabbir par l’entremise de  Savitri Medhatul, ma co-auteur qui est originaire de Mumbai. Elle a d’abord commencé par sonder autour d’elle. Quand je suis arrivé sur place, elle avait déjà sélectionné deux rickshaws. Le jour même de mon arrivée, Shabbir nous appelle pour nous dire que sa femme s’apprête à partir dans l’Uttar Pradesh pour rendre visite à ses parents. On a filmé son départ. L’interview était intéressante. On a donc décidé de continuer avec eux. Contrairement à sa femme Asma , Shabbir, lui, a grandi a Mumbai.


Comment avez-vous dépassé la barrière de la langue ?
J.P. : C’est Savitri qui interagissait avec eux. Beaucoup de gens parlent anglais en Inde mais pas Shabbir…


Suivre ce conducteur de rickshaw dans son quotidien, est-ce un sésame pour bien comprendre l’Inde d’aujourd’hui?
J.P. :  L’Inde a une multitude de facettes. Mais ce film offre une image au microscope de ce qu’est la vie d’un rickshaw. Une classe moyenne est actuellement en train d’émerger. Ce phénomène est en train de changer totalement la configuration de la société indienne…


Ce dernier fait-il désormais partie de la classe moyenne ?
J.P. :  Non, Shabbir fait toujours partie de la population défavorisée. En Inde, il y a beaucoup de condescendance sociale à l’égard des petits métiers. Une bonne partie de la population indienne ne respecte pas le principe de dignité humaine. Il est très fréquent que les taxis se fassent gueuler dessus. Les rickshaws sont considérés là-bas comme des larbins.


Est-ce que ça a été techniquement ardu de suivre, caméra à la main, le rickshaw  en train de se faufiler dans les rues de la mégalopole la plus embouteillée du monde ?
J.P. : C’était un peu difficile de filmer car l’engin n’est ni grand ni stable. On a réalisé des plans de derrière mais aussi des plans de l’extérieur. Pour ce faire, on a demandé à un de ses amis rickshaw de nous servir de chauffeur et de suivre Shabbir. Au départ, c’était un peu chaotique mais, sur  la fin, les plans étaient bons.


Vous offrez un regard sans concession sur les conditions de vie difficiles mais une certaine fascination transparaît malgré tout. Pour vous, Mumbai s’apparente à la nouvelle New York…
J.P. : Je suis effectivement fasciné par ces deux villes.  Ce n’est pas tant une histoire de grande ville… Je n’ai pas aimé Delhi ou Los Angeles alors que j’adore Mumbai et New York. J’apprécie l’atmosphère, vraiment particulière à ces deux mégalopoles, qui ont d’ailleurs beaucoup de points communs. J’habite à Paris mais je me rends autant que possible dans ces deux destinations. 


C’était votre premier documentaire destiné au web, comment appréhendez-vous les choses?
J.P. : Il faut avoir à l’esprit que le lecteur est devant un écran d’ordinateur.  Le fait d’être sur le web requiert une « rythmique » assez soutenue. Le spectateur/internaute est encore plus sollicité que le spectateur qui se trouve devant une télé ou un écran de cinéma.


Pourquoi avoir choisi un découpage en six parties?
J.P. : Le découpage a d’abord eu lieu entre Savitri et moi. Dans un second temps, il s’est fait avec les productrices de Narrative, Laurence et Cécile.


Si vous aviez disposé de plus de temps…
J.P. : J’aurais filmé Shabbir en dehors de ses heures de travail. Lorsqu’il est en famille, lors de célébrations religieuses (il est musulman)...


Est-ce que ça vous a donné envie de réaliser  un plus long format ?
J.P. :  Pas forcément sur les rickshaws mais plutôt sur l’urbanisation galopante. Il y a beaucoup de choses à dire.


Propos recueillis par Audrey Khalifa - juin 2010.


(interview extraite du site web de France 5


http://documentaires.france5.fr/bonus-articles/interview-de-lauteur-jonas-parient%C3%A9

Documentaire France 5 - Un rickshaw dans la ville


Auteur : Jonas Parienté & Savitri Medhatul
Production : France Télévisions, Narrative

Mumbai, la plus grande ville du monde
En 2031, Mumbai, autrefois appelée Bombay, deviendra la ville la plus peuplée du monde, avec 34 millions d'habitants - l'équivalent de la moitié de la France regroupée dans une seule ville. Les défis que cela pose à ses dirigeants et ses habitants sont probablement sans aucune mesure dans l'histoire humaine. Mais il y circule une énergie et un enthousiasme enivrants, et on serait tenté d'imaginer un avenir souriant à Mumbai : elle pourrait tenir une place centrale sur l'échiquier mondial, à l'image de New York au 20ème siècle.

(présentation extraite du site de France 5)

Ce documentaire est en accès GRATUIT sur le site de France 5: 


Extrait: 


Friday, March 25, 2011

Documentaire ARTE: Trois crimes contre la planète (accès gratuit jusqu'au 31 mars 2011)


Sous la houlette de la Wildlife Protection Society of India, une unité d'intervention de la police criminelle indienne a pu arrêter le "parrain" des trafiquants de tigres. Elle a même remonté la filière jusqu'au Tibet où les autorités chinoises laissent faire sans réagir, malgré les appels du dalaï-lama...

(présentation extraite du site d'ARTE)

Accès GRATUIT sur le site d'  ARTE jusqu'au 31 mars 2011:


 Extrait:

Thursday, March 17, 2011

Conférence sur Râmmohun Roy par France Bhattacharya: 21 mars 2011 à 18h15


"Râmmohun Roy - Le père de l’Inde moderne" par France Bhattacharya, professeur émérite des universités (INALCO- Langues'O)
 
Conférence organisée par la Fédération française de hatha yoga avec le parrainage du Centre de relations culturelles franco-indien

Date et heure: 21 mars à 18 h15
Lieu: CENTRE ANDRÉ  MALRAUX
78, BD RASPAIL / 112, RUE DE RENNES 
75006 PARIS

Métro: RENNES ou SAINT-PLACIDE
Entrée : 8 euros – Étudiants : 5 euros


Thursday, March 10, 2011

ARTE Reportage: Kalash, un peuple païen du Pakistan (accès gratuit jusqu'au mercredi 16 mars 2011)

Un document unique sur un peuple païen du Pakistan dont les croyances demeurent quasi inchangées depuis deux mille trois cents ans.

Accès GRATUIT sur le site d'  ARTE jusqu'au 16 mars 2011:

http://videos.arte.tv/fr/videos/kalash-3750196.html

Extrait:


Monday, February 21, 2011

Documentaire France 5 - Civilisations disparues - La Vallée de l'Indus

En 1924, le long du fleuve Indus, dans l'actuel Pakistan, l'archéologue John Marshall découvre les vestiges de plusieurs villes vieilles de plus de 3 000 ans. Il met à jour des maisons de brique séchée dotées d'une salle de bains, d'un puits, d'un système de vidange.

Aujourd'hui encore, la civilisation de l'Indus demeure une énigme.

Qui a construit ces cités ? Quels étaient leurs habitants ? Quels étaient leurs moyens de subsistance ? Pourquoi cette civilisation a-t-elle disparu ? Les crues annuelles du fleuve risquent d'enfouir à jamais les ruines... 
(présentation extraite du site de France 5)

Accès GRATUIT sur le site de France 5 jusqu'au dimanche 27 février 2011: 

http://documentaires.france5.fr/documentaires/civilisations-disparues/la-vall%C3%A9e-de-lindus

Extrait: 

Friday, February 18, 2011

Une interview de Jafar Panahi, cinéaste iranien (diffusée sur ARTE le 16/02/11)

Le 1er mars 2010, Jafar Panahi est arrêté à son domicile pour avoir affiché son opposition au président Ahmadinejad - dont la réélection en juin 2009 avait suscité une vague de protestations. De nombreux appels sont lancés pour sa libération, notamment lors du Festival de Cannes, où le réalisateur devait siéger parmi les membres du jury. Mais, faisant fi de la mobilisation internationale, le régime iranien attend le 25 mai et le paiement d'une caution de deux milliards de rials (164 000 euros) pour rendre sa liberté à Jafar Panahi. Dans sa maison du nord de Téhéran, amaigri par dix jours de grève de la faim, il évoque ses conditions de détention. Il raconte notamment une conversation sur écoute où il comparait son emprisonnement au "script d'un film", propos qui lui a valu des fouilles, un interrogatoire et des menaces, parce que les policiers iraniens en avaient déduit qu'il était en train de tourner dans sa cellule. Alors qu'il était inimaginable de faire passer une caméra clandestinement. "Il semblerait en fait que même parler de cinéma soit un crime", commente-t-il. Le cinéaste parle aussi de son avenir et de sa détermination à poursuivre son métier malgré les pressions. "Je ne vis que quand je fais des films, affirme-t-il. Maintenant, je suis obligé de faire des films dans mes rêves, parfois dans ma tête. Alors on verra bien ce qui arrivera."
(présentation extraite du site d'ARTE)




Le Cercle, un film de Jafar Panahi, cinéaste iranien (diffusée sur ARTE le 16/02/11)

Un judas s'ouvre dans la porte d'une maternité, où s'encadre le visage d'une infirmière : une petite fille vient de venir au monde. Trois jeunes femmes, tout juste libérées de prison, doivent quitter Téhéran, mais ne disposent pas des papiers nécessaires. Une autre, dont l'amant a été exécuté, veut à tout prix avorter. Une femme d'âge mûr se voit imposer une coépouse par son mari...
(présentation extraite du site d'ARTE)

Extrait:
 

Pour voir ce film GRATUITEMENT, cliquer sur ce lien (accès gratuit jusqu'au 23/02/11):

http://videos.arte.tv/fr/videos/le_cercle-3702414.html

ARTE Reportage: Les enfants des rues de Mumbai (accès gratuit jusqu'au jeudi 24 février 2011)


Cliquer sur le lien ci-dessous pour voir ce documentaire magnifique et très émouvant:


Dans les bidonvilles de Mumbai, les destins de quatre enfants de 7 à 11 ans.

Extrait:

Monday, December 27, 2010

Documentaire ARTE: Gandhi, mort pour la paix (accès gratuit jusqu'au lundi 03 janvier)

Le 20 janvier 1948, Gopal Godse, l'homme qui s'était promis de tuer le mahatma Gandhi, échoue dans sa tentative d'assassinat. Dix jours plus tard, le 30 janvier, son frère Nathuram réussit là où il avait failli... Pour les deux hommes, il s'agit de punir celui qui a accepté la partition de l'Inde et du Pakistan. Soixante ans plus tard, Gopal, vieillard au visage émacié, ne regrette rien. Pour lui, le jour de l'indépendance de l'Inde fut presque une journée de deuil. En ce 15 août 1947, raconte-t-il, la Bharat Mata, cette "Inde-mère" qu'il révérait comme un fils, avec toute sa dévotion de jeune brahmane et sa fureur mystique de nationaliste farouche, venait d'être tragiquement tronquée. Cet épouvantable charcutage géographique et culturel avait amputé l'Inde d'une grande partie de ses provinces, devenues le Pakistan-Oriental et Pakistan-Occidental. Le colonisateur britannique, bien sûr, mais aussi l'ensemble des musulmans, portaient la responsabilité de cette "vivisection", selon les frères Golse. Mais pour eux, le principal coupable était un hindou, d'autant plus criminel qu'il faisait partie des leurs. La haine de Gopal pour Mohandas Karamchand Gandhi, le héros de l'indépendance qui avait défié les Anglais durant plusieurs décennies et que Winston Churchill avait un jour surnommé le "fakir à demi-nu", semble toujours intacte. Richement documentée, cette enquête éclaire d'un jour nouveau un épisode sanglant de l'histoire du sous-continent indien, mettant en évidence son retentissement dans l'Inde et le Pakistan d'aujourd'hui. (présentation extraite du site d'ARTE)

Extrait: 


Sunday, December 12, 2010

ARTE Reportage: Les Naxalites (accès gratuit jusqu'au samedi 18 décembre)


Dans les jungles de l’Inde, c’est une guerre qui ne dit pas son nom. Elle oppose les rebelles maoïstes aux forces de l’ordre. Le conflit perdure depuis plus de quarante ans et il a fait des milliers de victimes. Le message des insurgés n’a jamais changé : la défense des plus démunis, des aborigènes et des paysans sans terre. Sous l’impact de la mondialisation et de la libéralisation économique, l’insurrection maoïste se propage et s’étend aux campagnes oubliées de l’Inde. Elle est aujourd'hui active dans 20 des 28 états du pays. Pour contrer cette vague rouge, New-Delhi a lancé, l’an dernier, une vaste offensive paramilitaire. De part et d’autre, les représailles s’intensifient. Villages incendiées, civils exécutés, populations déplacées, maoïstes et policiers tués.

Vanessa Dougnac et David Muntaner ont obtenu l’autorisation exceptionnelle de vivre aux côtés des rebelles, ces mystérieux combattants de Mao, dépeints en « terroristes » par New-Delhi, accusés par la presse indienne d’être des « machines à tuer ».Depuis le renouveau de l’insurrection, aucune télévision indépendante n’avait obtenu l’accord de filmer leur vie quotidienne. Des images rares qui nous font découvrir leur réalité et les enjeux cachés de la rébellion.
(présentation extraite du site d'ARTE)

Extrait:

Friday, December 03, 2010

Documentaire ARTE: L'Inde, en guerre contre le sida (accès gratuit jusqu'au mardi 07 décembre)

L'Inde, en guerre contre le sida


Si les pays du Nord disposent de traitements efficaces contre le sida, la majorité des malades résident dans ceux du Sud. Avec 5,7 millions de séropositifs recensés en 2006, l'Inde a le triste privilège d'être le pays le plus touché. Depuis quatre ans, le sous-continent est parti en guerre contre le VIH. Le ministre de la Santé Anbumani Ramadoss a rompu avec la tradition qui consistait à maquiller les chiffres du sida. Il y a un an, la Haute Cour de justice de Delhi décidait aussi de dépénaliser l'homosexualité. Pour mesurer l'ampleur de cette révolution, les réalisateurs ont rencontré des Indiens qui vivent avec le sida, et affrontent la stigmatisation dans un pays ultraconservateur. Le film explique aussi les enjeux d'un combat qui s'étend au-delà de l'Inde. Car si la pandémie reculait dans ce pays moteur, elle pourrait régresser ailleurs. Pharmacie des pays pauvres, l'Inde fabrique la majorité des versions génériques des trithérapies. Une riposte aux prix prohibitifs des laboratoires pharmaceutiques occidentaux, inaccessibles aux pays du Sud. (présentation extraite du site d'ARTE)



Documentaire Arte: Taslima Nasreen, sans domicile fixe - en accès gratuit jusqu'au dimanche 05 décembre

Taslima Nasreen, sans domicile fixe


En 1993, suite à la parution de son livre Lajja (La honte), Taslima Nasreen est l'objet d'une première fatwa - il y en aura sept - lancée par des fondamentalistes de son pays. Depuis, elle vit en exil. Maniant sa plume comme une arme, elle continue de dénoncer sans relâche l'obscurantisme religieux, l'asservissement des femmes et la dictature de la misère .(présentation extraite du site d'ARTE)

Extrait: 

Tuesday, November 02, 2010

Dim 21 novembre à 17 h - Théâtre de la Ville - Concert de Santoor par Rahul Sharma (fils de Shiv Kumar Sharma) au Théâtre de la Ville de Paris

 
 Théâtre de la Ville
le 21 novembre 2010 - 17h00       Musiques du Monde 
Rahul Sharma  santour  (inde du Nord)
TARIF PLEIN : 1 seule catégorie 18€
JEUNE : 1 seule catégorie 13€


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Comment réserver:

Par téléphone: 01.42.74.22.77 (du lundi au vendredi de 11h à 19)

Par Internet: www.theatredelaville-paris.com
ouverture de la billetterie en ligne ce jour à 12h et jusque 48h avant la représentation

Aux caisses:
Théâtre de la Ville
2 place du Châtelet Paris 4
Caisses ouvertes du mardi au samedi de 11h à 20h (lundi de 11h à 19h)

Sunday, October 24, 2010

Documentaire ARTE: Les sept merveilles de l'islam (accès gratuit jusqu'au 28 octobre 16h)


Un voyage au coeur de l'islam à travers le portrait de six jeunes en pèlerinage à La Mecque. (présentation extraite du site d'ARTE)


Cliquer sur le lien ci-dessous pour voir GRATUITEMENT (jusqu'au 28 octobre-16h) le documentaire "Les sept merveilles de l'islam" sur le site d'ARTE:



Extrait: 


Saturday, October 23, 2010

Documentaire ARTE: Ramnami - "Les Tatoués de Dieu" (accès gratuit jusqu'au 25 octobre 17h)

Cliquer sur le lien ci-dessous pour voir le documentaire (Ramnami - "Les Tatoués de Dieu") sur le site d'ARTE:


http://videos.arte.tv/fr/videos/ramnami_les_tatoues_de_dieu_-3474966.html

Au coeur de l'Inde vivent les adeptes d'une forme ancestrale de culture et de philosophie religieuse: la Ramnami Samaj. Entièrement dévoués au culte de Dieu, ils tatouent son nom sacré partout, y compris sur leur corps. Ancrés dans des traditions millénaires, les Ramnami mènent une existence où la philosophie religieuse le dispute au dénuement le plus extrême. Mais qui succédera à leurs derniers représentants ?

(présentation extraite du site d'ARTE)

Extrait:

Sunday, September 26, 2010

Gujarat, le combat des petits paysans indiens (un documentaire en accès gratuit sur le site web de France 5 )


Gujarat, le combat des petits paysans indiens (un documentaire en accès gratuit sur le site de FRANCE 5)

Au Sud-Ouest du Gujarat, l'un des Etats les plus industrialisés de l'Inde, la population tribale des Bhils s'organise pour créer une Zone Economique Verte. L'appellation fait référence, avec une certaine ironie aux Zones Economiques Spéciales (les ZES), fers de lance de l'industrialisation en Inde.

Le combat des petits paysans indiens

Au Sud-Ouest du Gujarat, l'un des Etats les plus industrialisés de l'Inde, la population tribale des Bhils s'organise pour créer une Zone Economique Verte. L'appellation fait référence, avec une certaine ironie aux Zones Economiques Spéciales (les ZES), fers de lance de l'industrialisation en Inde.L'économie rurale se bat face à la tentation du développement industriel

La région des Bhils est encore vierge de tout développement industriel. La zone économique verte  fédère une centaine de villages. Elle incarne la lutte du peuple Bhil lutte pour faire reconnaitre l'existence légale d'une zone protégée et basée sur une économie rurale. Le documentaire « La revanche de la terre » raconte ce combat au jour le jour.

Une philosophie héritée de Gandhi

M. Ganesh Devy, un ancien professeur de littérature, est le créateur de ce concept. Son organisation « BHASHA » cherche à implémenter des principes économiques inspirés de la philosophie gandhienne : autosuffisance des villages, micro-crédit, banques de semences, diversification des ressources agricoles, projets d'irrigation, défense des droits des paysans, reconnaissance de la culture tribale, etc. Ces idées s'inspirent du travail de grands activistes indiens, notamment Vandana Shiva ou Aruna Roy. Il s'agit de développer un système économique sain qui limite toute dépendance vis à vis du système capitaliste financier classique. Le petit paysan peut ainsi se protéger de la spirale d'endettement qui touche les populations rurales.

L'agriculture indienne est un enjeu mondial

L'Inde compte aujourd'hui 800 millions de paysans. À l'échelle de la planète, un paysan sur cinq est indien. Aux siècles prochains, l'Inde rurale aura un rôle crucial à jouer dans la préservation des surfaces forestières et agricoles, mais aussi dans l'enjeu de la suffisance alimentaire.Le miracle économique indien a oublié le monde rural

Le potentiel agricole de l'Inde est indéniable, mais à la condition d'investir, d'innover et de diversifier. Des outils souvent hors de portée pour les petits paysans. Ces derniers sont majoritairement pauvres et endettés. Depuis 2002, l'un d'entre eux se suicide toutes les 30 minutes. Le malaise touche même les riches zones agricoles du Nord de l'Inde, où le gouvernement a lancé, dans les années 60, une « révolution verte » basée sur des hauts rendements de production. Les 80 millions de tribaux qui, comme le peuple Bhil, vivent dans les campagnes reculées restent parmi les plus touchés : oubliés de la croissance économique, ils voient leurs terres convoitées par de grandes compagnies d'extraction minière. Le désespoir des campagnes revêt de nombreux visages, que ce soit la violente insurrection maoïste qui s'appuie sur la défense des paysans sans terre, ou la résistance de fermiers lésés face aux créations de zones industrielles franches. Dans la «nouvelle Inde» qui se rêve en géant économique, le paysan ne trouve pas sa place.

Comment redonner aux paysans indiens leur dignité ?

Le gouvernement indien cherche des solutions pour redonner au paysan sa dignité mais aussi pour répondre aux besoins de sa population croissante. Il n'a ainsi pas hésité à introduire la culture controversée du coton transgénique, commercialisé par la multinationale américaine Monsanto. L'agriculture biologique, quant à elle, n'est pas jugée assez performante. Mais l'augmentation des coûts de production et la baisse des investissements de l'état continuent à fragiliser l'économie agricole.

Les campagnes indiennes, qui représentent la deuxième surface cultivée de la planète, sont pourtant liées au ciment de la paix sociale, de la prospérité, et de la suffisance alimentaire nationale et mondiale.

Face à ces enjeux, le grand défi économique de l'Inde reste aussi celui de sa tradition millénaire: l'agriculture.

(présentation extraite du site de France 5)

Auteurs: Vanessa Dougnac, Fabrice Launay
Production: Narrative, France Télévisions

POUR VOIR CE DOCUMENTAIRE GRATUITEMENT, CLIQUER SUR LE LIEN CI-DESSOUS: 

Thursday, September 23, 2010

Inde: les cheveux du temple (documentaire ARTE)


Documentaire ARTE en accès GRATUIT jusqu'au 27 septembre 2010 (18 heures - heure de Paris)

Perruques, postiches... : le secteur des compléments capillaires est un marché plus que rentable. La plupart des produits viennent d'Inde où les croyants font raser leur chevelure pour l'offrir en sacrifice aux dieux. 360°-GÉO a suivi l'itinéraire de ces "cheveux des temples", de la ville de Palani, où, tous les ans, des millions de pèlerins en font l'offrande, jusqu'en Europe, où ils servent à réaliser nos fantasmes capillaires les plus fous. (présentation extraite du site d'ARTE)

Accès GRATUIT jusqu'au 27 septembre 2010 (18 heures - heure de Paris)

POUR VOIR LE DOCUMENTAIRE, CLIQUEZ SUR LE LIEN CI-DESSOUS:
EXTRAIT: 

Saturday, September 18, 2010

Les Bishnoïs du désert du Thar (Rajasthan) (documentaire ARTE)


Le désert du Thar dans le nord-ouest de l'Inde : dès l'aube, Ramnivas Budhnagar accomplit un rituel, en allant déposer de l'eau et de la nourriture pour les animaux sauvages. Son fils Mahaver l'accompagne, car un jour, c'est lui qui prendra la relève. La famille de Ramnisvas appartient à la communauté des Bishnoï. Le terme Bishnoï, de " bish ", vingt et " noï ", neuf, soit " 29 ", est dérivé des 29 préceptes édictés par Lord Jambeshvar il y a un demi-millénaire. A l'époque, des conflits entre hindous et musulmans secouaient le pays, qui menaçait aussi de se disloquer à cause des rivalités intercastes. Jambeshvar était convaincu que la seule issue possible, était de parvenir à un respect absolu de la vie sous toutes ses formes. Il avait donc édicté 29 règles qui portent tout autant sur l'hygiène quotidienne que sur le langage, le mode d'alimentation, la compassion et le pardon. Elles vont de " Ne tue jamais un animal ", " Protège les animaux sauvages, car eux aussi jouent un rôle dans l'équilibre de la nature " à " Ne mens pas " et " N'abats pas les arbres ". Depuis 500 ans, les Bishnoïs sont respectueux de la nature ; ce sont donc les premiers défenseurs de l'environnement en quelque sorte. Aujourd'hui encore, ils essaient de rester fidèles à leurs idéaux, en dépit de la mondialisation qui laisse peu de place à l'individu et aux modes de vie immuables. Les jeunes Bishnoï émigrent dans les villes. Les autres, ceux qui restent, continuent de se battre pour les droits des animaux ; ils soignent des gazelles blessées, en les mettant à l'abri dans leurs temples. Pourtant, ils ont discerné les signes des temps, à l'instar de Ramnisvas. Ce dernier se sert depuis longtemps de moyens de communication modernes comme le téléphone portable, et il organise des manifestations relayées le lendemain dans les journaux. Mais cela suffira-t-il à porter haut le combat des Bishnoï et à assurer leur survie ? (présentation extraite du site d'ARTE)
Accès GRATUIT jusqu'au 18 septembre 19h (heure de Paris), CLIQUEZ  SUR LE LIEN CI-DESSOUS:

Saturday, September 04, 2010

Documentaire France 5 - J'irai dormir chez vous - l'Inde

RESUME: 
Antoine de Maximy parcourt la péninsule indienne. Après avoir échappé avec humour aux rabatteurs à touristes, il rencontre au bord du Gange un employé du train à la retraite qui vit dans un temple. Il sera finalement hébergé par la famille d'un vieux médecin homéopathe.

A Bombay, aujourd'hui appelée Mumbai, il se fait entraîner pendant des heures à travers la ville par un individu qui lui propose de l'héberger... jusqu'à ce que les rôles s'inversent : tard dans la nuit, c'est finalement cette personnne qui demande si Antoine peut l'inviter à dormir.
A Trivandrum, Antoine est sceptique quant à la nourriture qu'on lui offre.

Au beau milieu de la campagne environnante, il se retrouve dans un village isolé, où personne ne parle l'anglais. Alors que la situation semble désespérée, un pasteur accepte de l'héberger pour la nuit. (résumé extrait de France 5)

Accès GRATUIT jusqu'au 10 septembre 2010:



ou

http://documentaires.france5.fr/documentaires/jirai-dormir-chez-vous/linde

EXTRAIT:

 

Friday, August 27, 2010

En Inde avec les cuisiniers de rue (documentaire ARTE)


Au milieu de la circulation, Ganesh Rao manipule habilement ses poêles brûlantes. Il raconte les difficultés de son métier de cuisinier des rues, jugé incompatible avec une ville moderne et soumis à la rude concurrence des fast-foods.


Documentaire disponible gratuitement  jusqu'au 01 septembre sur le site d'ARTE: cliquez ici
Extrait: 


Mère Teresa, la foi et le doute (documentaire ARTE)



Récompensée par le Prix Nobel de la paix pour des décennies d'engagement en faveur des pauvres et des malades des bidonvilles de Calcutta, béatifiée par le pape Jean-Paul II en 2003, six ans seulement après sa mort à l'âge de 87 ans, mère Teresa est respectée et vénérée dans le monde entier. À l'occasion du centième anniversaire de sa naissance, ce documentaire retrace le parcours de la religieuse. Le récit biographique réalisé à partir d'images d'archives et de scènes reconstituées acquiert une réelle profondeur grâce à l'évocation des aspects les moins connus de sa personnalité, tels qu'on a pu les découvrir suite à la publication de ses écrits, lettres et pensées sous le titre Viens, sois ma lumière ! (2008). Donnant la parole à ses proches, ainsi qu'à son confesseur, le père jésuite Joseph Neuner, le film propose une réflexion sur l'image et la véritable personnalité de cette femme de foi. (présentation extraite du site d'ARTE

Documentaire disponible gratuitement  jusqu'au 29 août sur le site d'ARTE:  cliquez ici

Extrait:  


Giving up the great American dream, Non-Resident Telugus are returning home


[The Times of India - August 26, 2010]

HYDERABAD: At 23, Gautam nurtured the common Telugu dream of the 1990's, to go to the US. And 18 years later, he is among the many Non-Resident Telugus nursing yet another common desire — to head back home. 

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Tuesday, March 16, 2010

Le Coran: aux origines du Livre (documentaire Arte de Bruno Ulmer)



Voici un documentaire très intéressant sur l'écriture et la mise en forme du Coran. Il s'agit là d'un documentaire exceptionnel, à voir absolument.

Ce documentaire n'est en accès libre et gratuit que jusqu'au 20 mars seulement à partir du lien ci-dessus, alors ne tardez pas! Au delà de cette date, l'accès deviendra payant sur le site d'Arte.


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Le Coran: aux origines du Livre, documentaire de Bruno Ulmer (France, Arte, 52 min)

http://plus7.arte.tv/fr/1697660,CmC=3096118,scheduleId=3073350.html

Des premiers manuscrits aux récentes découvertes, histoire du livre fondateur de l'islam, entre tradition et savoir. Un voyage passionnant au coeur de l'Antiquité tardive.

Livre fondateur de l'islam, le Coran est vénéré par un milliard de fidèles. Recueil de la parole de Dieu, révélée à Mahomet à La Mecque et à Médine entre 610 et 632 de l'ère chrétienne, il compte quelque 6 000 versets et 114 sourates (chapitres). Pour les musulmans, il demeure inchangé depuis quatorze siècles. Pourtant, des découvertes récentes de manuscrits coraniques, analysés par des scientifiques comme datant des environs de l'an 680 - les plus anciens connus au monde - montrent que le Coran aurait une histoire. Durant le premier siècle de l'islam, et avant que ne s'impose la version canonique du khalife Uthman, le livre aurait connu des versions concurrentes, une organisation différente des sourates, des interprétations variables dues à une écriture, à ses débuts, très rudimentaire...

(source: Arte)

Thursday, January 14, 2010

Conférence: De l’Inde au Tibet La représentation des divinites féminines

F.F.H.Y. avec le parrainage du  Centre de relations culturelles franco-indien
Programme disponible sur  www.confinde.com

Le 25 janvier à 18 h15
avec projection

De l’Inde au Tibet
La représentation des divinites féminines

Anne Sudre
Professeur à l’Ecole du Louvre


Dans la continuité de la conférence « Les divinités féminines dans l’art de l’Inde : de l’image au message » (Centre Malraux, 2008), Anne Sudre évoquera pour nous les étonnantes et complexes représentations de divinités féminines dans les arts du Népal et du Tibet. Souvent d’origine indienne, issues du tantrisme hindou et bouddhique, elles combattent les démons et les ennemis de la religion, incarnent la compassion, protègent le dharma, personnifient des textes sacrés et des formules magiques, détiennent des enseignements secrets. A l’appui d’exemples puisés dans la sculpture et la peinture (Ier-XVe siècles), Anne Sudre présentera un panorama des principales déesses
et en décryptera l’iconographie, la fonction et le sens.


AU CENTRE ANDRÉ  MALRAUX
78, BD RASPAIL / 112, RUE DE RENNES 75006 PARIS - 
MÉTRO :  RENNES OU SAINT-PLACIDE
Entrée: 8 euros  - Étudiants : 5 euros

Wednesday, January 13, 2010

Amartya Sen sur France Inter (13 janvier 2010)


Une interview exclusive d'Amartya Sen (Prix Nobel d'Economie 1998 et professeur à l'université d'Harvard aux Etats-Unis) :

Tuesday, December 29, 2009

Hommage et Respect pour Zakir Cassam Chenai



C'est avec une immense douleur et tristesse que j'ai appris la nouvelle du décès de Zakir Cassam Chenai. 


Voici un mesage que Zakir Cassam Chenai m'avait adressé l'année dernière en juin 2008 et qui avait alors été publié sur ce blog avec son autorisation:


Depuis plusieurs années déjà, nos communautés gujarati en France, à la La Réunion, à Madagascar continuent de dériver vers davantage d'intolérance, de fanatisme et nos cultures indiennes au passé si riche et si varié partent en lambeaux jour après jour à cause de leaders incompétents, démagogiques et fanatiques et une majorité qui s'enterre dans son silence et les laisse faire.

J'espère que le cri du coeur de Zakir ne restera pas vain et que très bientôt les consciences se réveilleront pour un monde meilleur que celui pitoyable et nauséeux que nous offre nos communautés d'aujourd'hui.

Ne connaissant pas les coordonnées de la famille proche de Zakir, je serai bien reconnaissant que l'un d'entre vous transmette le lien vers mon blog pour qu'ils aient connaissance des pensées et paroles de Zakir en guise d'hommage et d'héritage et surtout de leçon.




Monday, November 09, 2009

Conférence le lundi 16 novembre à 18h15 à Paris



CONFÉRENCES DU LUNDI

FFHY avec le parrainage du  Centre de relations culturelles franco-indien
Programme disponible sur  www.confinde.com



Le 16 novembre 2009 à 18 h.  15


Freedom  Fighters en Inde
Les héros de  l'indépendance


par

Catherine  Clément
philosophe, romancière

Catherine Clément évoquera pour nous les Freedom Fighters, ces durs lutteurs de l’indépendance de l’Inde. Parmi ces héros du mouvement national, des figures moins connues  que Gandhi et Nehru seront aussi évoquées : la poétesse Sarojini Naïdu, Sardar Vallabhbhai Patel, Abul Kalam Azad et le “Gandhi des frontières”, le patchoun non-violent, Abdul Ghaffar Khan.

AU CENTRE ANDRÉ  MALRAUX
78, BD RASPAIL / 112, RUE DE RENNES 75006 PARIS - MÉTRO:  RENNES OU SAINT-PLACIDE
Entrée: 8 euros  - Étudiants : 5 euros