Sunday, September 25, 2011

Documentaire France 5: Le Taj Mahal (Accès LIBRE et GRATUIT sur le site de France 5 jusqu'au 01 octobre 2011 à 16:02 - heure de Paris)


Accès LIBRE et GRATUIT sur le site de France 5 jusqu'au 01 octobre 2011 à 16:02 (heure de Paris) 

POUR VOIR CE DOCUMENTAIRE, VEUILLEZ CLIQUER  SUR LE LIEN CI-DESSOUS:

http://documentaires.france5.fr/documentaires/le-taj-mahal


Le Taj Mahal accueille 20 000 visiteurs par jour en temps normal. Mais sa fréquentation a doublé pendant les jeux du Commonwealth qui se sont déroulés à New Delhi en 2010.

Pour l'occasion, le mausolée a été rénové avec soins par plusieurs équipes d'artisans.

Des scientifiques et des archéologues ont supervisé l'ensemble des travaux : les tailleurs de pierres ont entretenu minutieusement les marbres et autres matériaux précieux, les jardiniers ont pris soin des potagers et des jardins... 

Durée: 50 minutes
Realisateur: SU MAE KHOO, BRIAN MC DARMANT 

Production: OAK 3 FILMS, MEDIALAB, BLINK FILMS
Prochaine diffusion: lundi 3 octobre 2011 à 15:38

(présentation extraite du site de France 5)

Extrait:

Friday, September 23, 2011

"Ceci n'est pas un film" de Jafar Panahi et Mojtaba Mirtahmasb


Source: ARTE 


"Ceci n’est pas un film" de Jafar Panahi et Mojtaba Mirtahmasb
"Ceci n’est pas un film" voilà un titre on ne peut plus adapté à la situation de Jafar Panahi, réalisateur iranien à qui le régime de Ahmadinejad a interdit d’exercer. Et puis, comment ne pas se rappeler des œuvres de René Magritte « Ceci n’est pas une pipe » par exemple.
L’année dernière, Panahi n’avait déjà pas pu se rendre sur la Croisette. Aujourd'hui, il est condamné par Téhéran à 6 ans de prison et 20 ans d’interdiction d’exercer. Si Panahi ne croupit pas dans les geôles iraniennes, il le doit uniquement à la procédure d’appel engagée par ses avocats. Le monde du cinéma espère aujourd'hui encore que sa peine soit au moins réduite, mais personne n’ose croire à l’acquittement.
Pour essayer de tromper l’attente, le réalisateur fait ce qu’il sait faire de mieux : il tourne. Mais pas pour braver l’interdiction du régime autoritaire, il connait trop bien les risques. Non, il s’agit pour lui plutôt d’une sorte de thérapie pour lutter contre le désespoir qui le guète. Pour respecter l’interdiction d’exercer son métier de réalisateur et de scénariste, il demande à Mojtaba Mirtahmasbzu, spécialiste du documentaire, de venir lui rendre visite chez lui. Devant la petite caméra numérique de son collègue, Panahi se livre à des improvisations intéressantes : il montre des extraits d’anciens films, et aborde ainsi la question de la valeur de ses œuvres passées. Il met également à l’épreuve son dernier scenario, une histoire d’ores et déjà frappée par la censure.
L’histoire de ce « non-film » peut être résumée ainsi : une jeune femme voudrait faire des études d’art, mais pour l’en empêcher, ses parents l’enferment dans une petite pièce. Symboliquement, Panahi dessine les contours de cette geôle sur un tapis, avec du ruban adhésif. Et pendant qu’il décide des détails techniques du film avec son collègue, la vie revient. Le cinéma devient donc comme une sorte de fontaine de jouvence, même dans les moments les plus difficiles : le cinéma est plus fort que toutes les peurs, toutes les oppressions. Tout à la fin du film – qui n’est officiellement pas de lui – Panahi n’y tient plus et reprend la direction des opérations. Il se saisit de la caméra et mène une interview improvisée d’un étudiant dans l’ascenseur. Autant de signes de vie, de création artistique qui sont comme des bouffées d’air pur face à un régime qui croit pouvoir imposer le silence et l’oubli. Et Panahi n’a pas envie de se laisser faire : son courage, son honnêteté sont un exemple pour chacun de nous.

Texte et sujet : Martin Rosefeldt

Tuesday, September 20, 2011

ARTE Reportage 17 Sept 2011/ Anna Hazare - Arudharti Roy -Binayak Sen

Inde: naissance d’un contre pouvoir
 
L’Inde est en plein boom économique. Les affaires fructifient, mais avec elles d’autres affaires. Pas un jour sans qu’éclate une nouvelle histoire de corruption, de prise d’intérêt illégal… Jeux du Commonwealth, marché de l’immobilier ou de la téléphonie, armement, les scandales s’enchainent à un rythme effréné.
 
Aujourd’hui, les Indiens en ont assez. De nouveaux protestataires se font les porte-paroles de cette colère. Soutenus par une nouvelle classe moyenne, par une jeunesse éprise de justice, ils élèvent la voix et s’en prennent de plus en plus vertement à l’Etat..
 
Arundathi Roy, Anna Hazare, Binayak Sen, trois noms, trois visages de la contestation made in India… Des hommes et des femmes qui sont en train de changer leur pays, des hommes et des femmes qui ont déjà fait plier les politiques…

(présentation extraite du site d'ARTE)

Extrait:

Accès GRATUIT sur le site d'ARTE jusqu'au 24 septembre 2011:
Mots clés: Corruption, Anna Hazare, Arundhati Roy, Binayak Sen, Gandhi, société civile, gouvernement indien, administration indienne, administration rurale

Saturday, September 17, 2011

ELLES CHANGENT L'INDE par REPORTERS SANS FRONTIERES



Vidéo:

Source: 
http://www.prima.fr/creatif/linde-dans-lobjectif-de-reporters-sans-frontieres/799548/
LIENS:

http://fr.rsf.org/

http://boutique.rsf.org/products/elles-changent-linde-100-photos-pour-la-liberte-de-la-presse

http://www.lefigaro.fr/culture/2011/09/06/03004-20110906DIMWWW00419-reporters-sans-frontieres.php

http://www.prima.fr/creatif/linde-dans-lobjectif-de-reporters-sans-frontieres/799548/

Titre: Elles changent l’Inde - 100 photos pour la liberté de la presse
Editeur: Reporters Sans Frontières
Publication: Août 2011 

Résumé du livre:

La condition des femmes en Inde a longtemps été considérée comme l’une des plus difficiles au monde. Pourtant, peu le savent, mais en Inde, le chef de l’État est une femme, Pratibha Patil. Même si son rôle est avant tout représentatif, il est le symbole d’un mouvement de fond: les femmes assument de plus en plus de responsabilités dans le pays. Tant dans le domaine politique que social, économique ou artistique, elles sont toujours plus nombreuses à gravir les échelons de la société indienne et participent activement à la modernisation du pays.
Pour rendre hommage à toutes celles qui changent l’Inde aujourd’hui, Reporters sans frontières a choisi de présenter les clichés de six grands photographes de l’agence Magnum Photos. Martine Franck, Patrick Zachmann, Raghu Rai, Alessandra Sanguinetti, Alex Webb et Olivia Arthur ont passé plusieurs semaines sur place pour rendre compte du rôle des femmes dans les bouleversements en cours. Tous ont saisi des images magnifiques et puissantes pour comprendre l’évolution des Indiennes dans la plus grande démocratie du monde. 

sources:
http://www.evene.fr/livres/livre/collectif-elles-changent-l-inde-45077.php

Documentaire ARTE: "Le marché des organes humains" (accès GRATUIT jusqu'au 20 septembre 2011)


Au Canada, le pays qui manque le plus de donneurs, un patient meurt tous les trois jours faute de rein compatible. De l'autre côté du globe, c'est un marché florissant où la demande est en constante augmentation : ce bidonville du sud de l'Inde spécialisé dans le trafic d'organes, baptisé "Kidney Village", en est une cruelle illustration. Sur les 85 000 dollars que déboursent les patients occidentaux pour l'achat d'un organe, les donneurs n'en reçoivent qu'entre 1 000 et 2 000. Le reste, ce sont les médecins, les trafiquants et les agences qui l'empochent...
  
(ARTE Allemagne, 2011, 53 min, SWR.)

(présentation extraite du site d'ARTE)

Date(s) de rediffusion:

  • mercredi 21 septembre 2011: 02h10

  • jeudi 29 septembre 2011: 10h05

Extrait:


Saturday, September 10, 2011

State-sponsored terrorism - ISI - Pakistan - Press Freedom USA




Keywords: ISI (secret services of Pakistan) - state-sponsored terrorism - the government and the elite rulers of Pakistan's policy - the army of Pakistan's leaders policy  - the freedom of the press in Pakistan - Jamaat-ut-Dawa - Islamism and religious fanaticism - Ayesha SIDDIQA - USA - India - Afghanistan

Source: ARTE - journal télévisé du 09/09/2011 - 19h (extrait)

Thursday, September 08, 2011

Film iranien "Au Revoir" ("Bé Omid E Didar") de Mohammad RASOULOF


Acteurs: Leyla Zareh, Fereshteh Sadreorafai, Shahab Hoseini
Source:  
ALLOCINE.FR
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=193542.html

Sortie en salles à Paris à partir du 07/09/2011



Source:  ARTE.TV
http://videos.arte.tv/fr/videos/_be_omid_e_didar_au_revoir_de_mohammad_rasoulof_-3908136.html

Autres infos et liens concernant ce film: 

RUE89: "Rasoulof, cinéaste iranien : « Ils disent que je suis un traître »", un article de Olivier De Bruyn (07/09/2011)
http://www.rue89.com/zoom-avant/2011/09/03/rasoulof-cineaste-iranien-ils-disent-que-je-suis-un-traitre-220403

LE MONDE: "Rasoulof retenu en Iran, Malick attendu à Cannes" (15/05/2011)
http://festivalcannes.blog.lemonde.fr/2011/05/15/rasoulof-retenu-en-iran-malick-attendu-a-cannes/

LE FIGARO: "Mohammad Rasoulof, le résistant", un article de Emmanuèle Frois
http://www.lefigaro.fr/cinema/2011/09/06/03002-20110906ARTFIG00693-mohammad-rasoulof-le-resistant.php

TELERAMA: Mohammad Rasoulof : “Cette scène d'Au revoir, je l'ai vécue”, un article et des propos recueillis par Laurent Rigoulet
http://www.telerama.fr/cinema/mohammad-rasoulof-cette-scene-d-au-revoir-je-l-ai-vecue,72660.php
THE NEW YORK TIMES / The Lede

"Iranian Filmmaker Speaks Out on Prisoners" by Robert MACKEY
http://thelede.blogs.nytimes.com/2010/03/09/iranian-filmmaker-speaks-out-on-prisoners/
WIKIPEDIA: Mohammad Rasoulof
http://en.wikipedia.org/wiki/Mohammad_Rasoulof

 

 

Anna HAZARE ends his fast - ARTE Journal

Extrait du journal télévisé d'ARTE du 28/08/11 (19h):