Thursday, May 22, 2008

Lettre ouverte et de supplications adressée à Madame Sophie Blanchy / APPEL AU BOYCOTT !

[mise à jour du 05 novembre 2008: je n'ai reçu aucune réponse de Madame Sophie Blanchy - Mounir]

22 juin 2008

Aussi triste que cela puisse paraître, Madame Sophie Blanchy n'a jamais répondu à mes messages et à mon appel à renoncer à cette conférence et, malgré tout ce qu'elle sait sur Nagin et ses "dirigeants", elle a maintenu cette conférence qui a bien eu lieu comme annoncé.

Toutefois, d'après les informations que j'ai pu recueillir, peu de gens s'étaient finalement présentés à cette conférence, ce qui est plutôt "réjouissant".

Mon appel au boycott a, semble-t-il, bien été relayé.

Je remercie tous ceux et toutes celles qui m'ont apporté leur soutien dans cette campagne et qui ont bien voulu relayer cet appel au boycott auprès de leur entourage.


Mounir Nassor

( email : mounirnassor@yahoo.co.in / blog : www.myindias.blogspot.com )
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Un rappel de cette lettre ouverte à été transmis à Madame Sophie Blanchy le 23 mai 2008.

Samedi 24 mai (18h15), Madame Sophie Blanchy n'a toujours pas répondu à mon appel.

J'invite tous ami(e)s, tous mes lecteurs et lectrices à faire de même pour lui demander d'annuler sa conférence du 25 mai organisée par NAGIN : sophie.blanchy@mae.u-paris10.fr, blanchysophie@yahoo.fr
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22 mai 2008

Chère Madame,

C'est avec la plus grande des stupéfactions et la plus grande des tristesses que je viens d'apprendre que le dimanche 25 mai à 16h à Paris, vous allez donner une conférence sur « Que veut dire être Gujarati...» à l'initiative des «dirigeants» de l'association NAGIN à savoir Ashock Monany, Salim Karim, Akil Amiraly, Firoze Hiridjee et peut-être d'autres personnes encore. Si j'utilise des guillemets concernant ces «dirigeants» de NAGIN, c'est parce que ces personnes n'ont aucune légitimité à vous proposer de faire cette conférence et/ou à vous payer au nom des membres de cette association (j'ignore si vous serez payée).

Le dimanche 30 mars 2008, à la réunion de cette association, vous étiez pourtant là lorsque j'ai manifesté ma plus ferme opposition à ces personnes, notamment concernant l'éviction odieuse et illégale d'Aména Chotia qui avait été régulièrement élue présidente au début du mois de septembre 2007 et dont le bureau exécutif avait régulièrement été établi le 23 octobre 2007.

Le 02 avril 2008, Salim Karim, se présentant illégitimement comme le «président» de NAGIN, m'a informé de mon exclusion sans même avoir consulté tous les autres membres du bureau (je ne parle même pas de l'ensemble des adhérents de NAGIN et alors qu'il prétend avoir obtenu leur assentiment « unanime » !) et sans même me donner la possibilité de m'expliquer comme cela est prévu statutairement.

En date du 21 avril 2008, j'ai répondu longuement en détail aux « motifs » scabreux invoqués pour mon exclusion purement expéditive, autoritaire, dictatoriale pour ne pas dire digne d'une secte. A toutes ces réfutations, dans ce même message, en tant que membre de cette association et membre du bureau ou conseil d'administration, je leur ai posé un certain nombre de questions et de demandes de justifications concernant leur gestion et administration de cette association. A ce jour, 22 mai 2008, aucune de ces personnes ne m'a répondu. Comment expliquer ce silence : mépris complet ? dissimulations ? manque de courage ? embarras ? honte ?

Comme cela est formellement attesté par les informations figurant sur mon blog (voir rubrique NAGIN : www.myindias.blogspot.com), vous avez été parfaitement tenue au courant de ces litiges et des moyens et manœuvres abjects utilisés par ces «dirigeants» malhonnêtes et manipulateurs qui vous ont convié à faire cette conférence sous leur égide pour ne pas dire sous leur «bénédiction».

Pour vous donner une autre preuve de l'incroyable malhonnêteté et malveillance de ces personnes, vous serez peut-être surprise d'apprendre que j'ai été «très soigneusement» mis à l'écart de l'organisation de votre conférence (prise de décision du bureau, budget, location de salle, etc.) alors que je suis membre du conseil d'administration de cette association. Surtout, je n'ai absolument pas été informé de la tenue de cette conférence alors que je suis membre de NAGIN et parfaitement à jour de mes cotisations auprès de cette association. C'est dire jusqu'où ils sont capables d'aller et de faire...!

C'est seulement très indirectement et par l'entremise d'amis bienveillants que j'ai appris avec la plus grande des tristesses et la plus grande des stupéfactions que vous aviez répondu favorablement à leur demande et que vous alliez donner cette conférence, ce qui implicitement revient à leur donner un blanc-seing complet sur toutes ces manœuvres malhonnêtes et ces mensonges éhontés de ces personnes, manœuvres et mensonges dont vous avez été directement témoins le 30 mars dernier et ensuite régulièrement et parfaitement informés depuis cette date par moi-même. En acceptant cette invitation par de telles personnes, vous cautionnez implicitement tous leurs agissements malhonnêtes dont vous avez été parfaitement tenue au courant jusqu'ici.

Aussi, avec toute l'estime que j'ai pour vous et qui est partagée - à juste titre - par un très grand nombre de membres de nos communautés gujarati, pour toutes les raisons évoquées en détail dans mon blog concernant ces personnes, pour tout ce que vous avez été informée et témoin direct concernant ces «dirigeants» de NAGIN, je vous adresse mes supplications les plus humbles pour vous demander de renoncer à cette conférence organisée par ces «dirigeants» de NAGIN le 25 mai prochain à 16h. En répondant favorablement à leur invitation, vous ne ferrez que ternir votre réputation non seulement auprès des communautés gujarati qui vous admirent et qui vous respectent mais aussi dans l'ensemble du monde académique qui lira cette lettre ouverte que j'adresse et demande de lire au plus grand nombre de personnes possible.

Malgré tout ce que vous savez au sujet de ces personnes, dans le cas où vous maintiendriez votre intention de faire cette conférence, je demande à toutes les personnes qui vont lire ce message
  1. de boycotter votre conférence
  2. de diffuser cette lettre ouverte auprès de leurs ami(e)s et entourage
  3. de relayer cet appel au boycott auprès de leurs ami(e)s et entourage
  4. de vous écrire et vous faire savoir qu'ils et elles ne viendront pas à votre conférence en guise de protestation : sophie.blanchy@mae.u-paris10.fr, blanchysophie@yahoo.fr
En espérant vivement que vous répondrez favorablement à mes très humbles supplications, veuillez agréer, chère Madame, l'expression de ma très respectueuse considération,

Mounir Nassor

( email : mounirnassor@yahoo.co.in / blog : www.myindias.blogspot.com )

Monday, May 05, 2008

Mercredi 14 mai à 19h : Film Parineeta par Pradeep Sarkar



Dear friends, chèr(e)s ami(e)s,


See below for reviews and summaries of the movie Parineeta by Pradeep Sarkar from The Hindu and Wikipedia.

Si vous êtes à Paris ou de passage à Paris, ce mercredi 14 mai à 19h, ne manquez surtout pas de voir le film de Pradeep Sarkar intitulé Parineeta (« The married woman ») au Reid Hall à Paris (voir description et adresse ci-dessous).

Un débat et une discussion auront lieu après la projection de ce film autour d'un verre vers 21h30 - 22h.

Le nombre de places pour ce film étant limité, veuillez très rapidement vous inscrire en indiquant simplement votre nom à : afui@msh-paris.fr

J'espère vous y voir très nombreux !

Date :

Mercredi 14 mai 2008 de 19h à 22h

Adresse :

Reid Hall
4 rue de Chevreuse
75006 Paris

métro : Vavin
Tel : 01.43.20.33.07

Frais de participation: membres de l’AFUI, étudiants: 5€, non membres, 8€, règlement sur place (inscription préalable obligatoire)

Merci aussi de relayer cette information autour de vous!

Bien à vous tous,

Mounir Nassor

(email : mounirnassor@yahoo.co.in / blog : www.myindias.blogspot.com)

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Voici le message de Josiane RacineAssociation France-Union Indienne


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Association France-Union indienne
54 boulevard Raspail

75006 Paris

afui@msh-paris.fr
site internet : www.afui.net


Madame, Mademoiselle, Monsieur,

L'AFUI a le plaisir de vous inviter à une nouvelle séance du ciné-club, le mercredi 14 mai de 19h à 22h.

Nous serons comme toujours accueillis à Reid Hall : 4 rue de Chevreuse, 75006 Paris Tel : 01.43.20.33.07, métro : Vavin.

Synopsis :

Adapté du roman de Sarat Chandra Chattopadhyyay (Parineeta, The married woman). Le film se situe dans le Calcutta de 1962, ville animée, en pleine effervescence et alors souvent appelée « le Paris de l’Est». Lolita, orpheline depuis l’enfance est envoyée dans la famille de son oncle où elle fait la connaissance de Shekhar, jeune musicien et fils d’un homme d’affaire influent. De l’enfance à l’adolescence, Shekhar et Lolita partagent joies, peines, amertumes, et mille autres expériences qui les lient d’une amitié profonde et vraie. De cette amitié naît sans même qu’il s’en rendent compte un amour intense dont seule l’arrivée de Girish leur révèlera la grandeur. Mais le destin en décide autrement et les expose à des retournements de situations si violents qu’ils finissent par s’entredéchirer. La pureté de leur amour parviendra-t-elle à surmonter toutes ces épreuves ?

Note sur le réalisateur :

Né et élevé à Calcutta, Pradeep Sarkar est diplômé du Delhi College of Arts. Après 17 années passées au sein d’importantes agences publicitaires, il a franchi le pas de la réalisation et a su se forger une reconnaissance qui lui a valu plusieurs récompenses. En sept ans il a réalisé plus de 1000 spots publicitaires, 15 clips vidéos et quelques chansons pour des longs-métrages. Avec «Parineeta» il signe avec succès son premier long-métrage.


Très cordialement

Josiane Racine - ASSOCIATION FRANCE UNION INDIENNE
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Review from The Hindu, June 10, 2005 – Entertainement Delhi

A maverick, period!

by Anuj KUMAR

As "Parineeta" opens this Friday, Vidhu Vinod Chopra speaks about the making of the film based on Sarat Chandra Chattopadhyay's classic.

For me, bringing to contemporary India an idea that is valid almost 100 years after it was penned is fascinating. Vinod Chopra


Conventional has never been the word for Vidhu Vinod Chopra. This Friday Vinod is taking us back in time with Sarat Chandra Chattopadhyay's classic "Parineeta." Apart from producing the film, Vinod has adapted the novel to a screenplay and the maverick says it has taken him two-and-a-half years. It's not the first time, though. He did it with the flourish of a painter in "1942 - A Love Story", a good decade before Bollywood saw a trend in period films.

"Well `Parineeta' is not my idea. It's really Sarat Chandra Chattopadhyay's idea. I read it when I was a kid. It's a fascinating novel, one of the best he has ever written. And for me something to do to bring to contemporary India and contemporary world, an idea which is valid almost 100 years after it was penned, that's fascinating."

The setting

Written in 1914, the man has brought the idea to the `60s. Why not today, when the idea - the differences in the perception of love and commitment between a man and woman - is still valid?

"I did do the test in `90s. But I thought to do the justice to the great ethic that Sarat Babu wrote it would be appropriate to go back in time slightly. So really going back to `60s is going back in time and yet making it contemporary. It's best of both the worlds. It is new yet old."

The classic has already been adapted in 1953 by Bimal Roy, with Ashok Kumar and Meena Kumari in the lead but Vinod says the thespian's work was never at the back of his mind.

"I actually had not seen the film till I had almost written half the screenplay. I did see the film for reference when I had done half the screenplay and my version is very different."

Cinematic liberty

Adaptations always lead to questions over cinematic liberties. Here too, Raima Sen's character has been extended beyond the novel's pages. Counters Vinod, "Well, it's not cinematic liberty. It's a free adaptation of his book and in the free adaptation it's not the way the book is. Sanjay Dutt's character Girish is also different. It's like the basic idea is the same but a completely new screenplay. "

In a country where "Devdas" finds mass approval and "Bose" bites dust at the box office, Vinod doesn't agree it's easier to woo viewers with fictional heroes of novels rather than real life heroes. "I think a good screenplay is a good screenplay whether it's `Bose', `Gandhi' or `Parineeta'. If it's an entertaining story, it's a screenplay that is tightened, it will work anyway."

Talking about the casting, Vinod says he has gone against the type - be it the newcomer Vidya Balan for the title role or the post modern comic caper Saif Ali Khan in his first period saga. "The selection finally boils down to can you act or you can't act. All we look for is that our actors strive for excellence. And if they are ready to strive for excellence we strive with them. What clicked in Vidya's favour is she is a fine actress. For Saif playing Shekhar was a test, and he is absolutely excellent. As for Sanjay, I believe he can do everything, from `Mission Kashmir' to `Munnabhai...' everything."

"Parineeta" is one of the rare Bollywood films to be shot in Kolkata, as the City of Joy has never been considered cost effective. Vinod agrees, "It was very difficult to shoot there and one of the reason we went there is because the original book is based in Calcutta and to bring in authenticity to what we were doing it was imperative that we go to Kolkata though it was not cost effective, it was lot of trouble, but we did it." Vinod adds a small portion has been shot in Darjeeling as well.

After "Munnabhai... ", here again Vinod has let his baby to be directed by a new comer Pradeep Sarkar, known for his adfilms. "It was not difficult. I never wrote the screenplay in order to direct it. It was always written so that Pradeep Sarkar would direct.

Grooming proteges

Ask him as a producer if he is following the trend of grooming protégés particularly when his last two directorial outings "Kareeb" and "Mission Kashmir" failed to connect with the audience, and Vinod takes umbrage. "Well I never did it because it's the trend. It's because I believe this film should be made. They are close to me and are excellent filmmakers."

He continues, " My confidence is beyond box office failures or hits. I make movie that I believe in. If they work very good. Don't forget that `Munnabhai' was not bought even after it was ready, but that didn't deter me." He promises to return with "Yagna." "I am already in pre-production and shortly I go into shooting."

For now, it's time to take another flight, a flight to Amsterdam where "Parineeta" is premiering at IIFA Awards.

Anuj KUMAR

Review from The Hindu, June 10, 2005 – Entertainement Delhi

http://www.hinduonnet.com/thehindu/fr/2005/06/10/stories/2005061001970400.htm

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Review from The Hindu, June 17, 2005 – Entertainement Chennai and Tamil Nadu

http://www.hinduonnet.com/thehindu/fr/2005/06/17/stories/2005061703310300.htm

Sensuous and crisp

by Susan Muthalaly

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Wikipedia

http://en.wikipedia.org/wiki/Parineeta_(2005_film)

Sunday, May 04, 2008

Film Just a Kiss / Ae Fond Kiss de Ken Loach le lundi 05 mai à 21h sur ARTE





Commentaires de Mamod Meralli Ballou et d'
Azad et Cécile Nassor sur le film de Ken Loach, Just a Kiss. D'autres commentaires sont les bienvenus et ne seront publiés qu'avec l'accord de leurs auteurs. (Mounir)
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Mamod Meralli Ballou :

06 mai 2008

Bonjour


J'ai vu le film hier soir et effectivement il est intéressant de constater l'écart entre deux cultures et les difficultées rencontrées par celles et ceux qui souhaitent faire fi de leur "héritage" que d'autres qualifieraient de "fardeau".

Ce film nous rappelle que dans le sens communautaire, les aspirations individuelles doivent s'effacer devant les intérêt du goupe (famille, communauté culturelle, communauté cultuelle...). L'autre aletrnative est de faire passer en avant le désirs personnels avant celle des proches. Les deux ont des avantages et des inconvénients, il m'est difficile de rejeter un modèle en bloc. La lutte du modèle communautariste face au modèle indvidualiste.....

En tout cas avant de juger l'autre il faut s'efforcer de se mettre dans sa peau, facile à dire et plus difficile à aire....

Bonne journée à tous.

Mamod
mmeralliballou@wanadoo.fr

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Azad et Cécile Nassor :

05 mai 2008

Bonsoir Mounir,

Nous venons de voir le film just kiss après avoir lu ton message. Je me souviens que tu nous avais conseillé le film il y a 2 ou 3 ans et que nous n'avions pas pu le voir.

Il soulève effectivement le problème de la transplantation des familles qui se regroupent en communauté dans le pays d'adoption, et les relations des jeunes générations avec les européens. Azad et moi-même nous sommes sentis concernés.

Très cordialement,

Azad, Cécile
azad.nassor@free.fr
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Ne manquez pas Just a Kiss / Ae Fond Kiss de Ken Loach ce soir (05 mai 2008) sur ARTE à 21h00 !

Don't miss Just a Kiss / Ae Fond Kiss by Ken Loach this evening (May 05, 2008) at 9 PM on ARTE !


Ae Fond Kiss / Just A Kiss (2004) de/by Ken Loach avec/with Atta Yakub, Eva Birthistle, Ahmed Riaz, Shabana Akhtar Bahsh

Synopsis (source: arte.tv/fr) : Casim appartient à la deuxième génération pakistanaise de Glasgow. DJ reconnu, il rêve d’acheter son propre club. Ses parents, Tariq et Sadia, des musulmans pratiquants, projettent de lui faire épouser une de ces cousines, Jasmine. Mais Casim rencontre Roisin, une brillante jeune femme irlandaise, professeur de musique au lycée où étudie sa sœur Tahara. Ils tombent follement amoureux et se heurtent avec violence aux préjugés de leurs communautés respectives.

(source ARTE : www.arte.tv/fr // http://www.arte.tv/fr/cinema-fiction/cinema-sur-ARTE/cette-semaine/2028834.html)


Extract from The Guardian, written by Peter Bradshaw (September 17, 2004)

An unfashionable streak of optimism and humanism runs through Ken Loach's new movie, scripted by Paul Laverty: an appealing Romeo-and-Juliet tale with lovely, unaffected performances about a second-generation Pakistani man who falls in love with the young Irish Catholic woman who teaches music at his sister's school. Loach's 1984 documentary about the miners' strike asked: whose side are you on? That question is here made very difficult by the Balkanisation of culture and politics - and by the mysteries of the human heart.

Casim (Atta Yaqub) is a DJ in Glasgow who dreams of owning his own club, but for his family's benefit acts the role of dutiful son with an accountancy degree, blandly accepting the marriage that his Muslim parents are arranging for him. Roisin (Eva Birthistle) has a more or less amicable separation from her husband and lives alone, teaching at the state Roman Catholic secondary, which we see explode into out-and-out disorder when Casim's feisty younger sister Tahara (Shabana Bakhsh) announces at her debating club that she rejects western labels and calls herself Glaswegian, Pakistani - and also a Rangers supporter. Short of actually donning a bowler and singing The Sash, Tahara could do nothing more incendiary. A virtual riot kicks off outside the school gates; Casim intervenes to help, locks eyes with the beautiful Roisin and winds up moving in with her.

The love affair of a south Asian man and a white woman is only the second most dangerous interracial love story. Reversing the sexual roles would raise the stakes, even potentially bringing us into the world of the "honour killing", the murder of errant young women by their outraged families - of which there has been at last one suspected case a year in the UK for the past decade. It would make for a very different kind of film, and it might also be more difficult to find a south Asian actress, professional or non-professional, prepared to do the reasonably explicit bedroom scenes that Birthistle has here with Yaqub.

(source: Peter Bradshaw, Friday September 17, 2004, The Guardian
http://film.guardian.co.uk/News_Story/Critic_Review/Guardian_Film_of_the_week/0,,1306044,00.html#article_continue)

Revue de presse / Press reviews

Arte :

http://www.arte.tv/fr/cinema-fiction/cinema-sur-ARTE/cette-semaine/2028834.html

BBC :

http://www.bbc.co.uk/dna/collective/A3009098

IMDB :

http://www.imdb.com/title/tt0380366/plotsummary

http://www.imdb.com/title/tt0380366/

The Guardian :

http://film.guardian.co.uk/News_Story/Critic_Review/Guardian_Film_of_the_week/0,,1306044,00.html#article_continue

The New York Times :

http://movies.nytimes.com/2004/11/26/movies/26kiss.html?_r=1&oref=slogin